Tome 1 : Faire le vide, Episode 5 : Nouvel ordre et ancien chaos (Staft)

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Amusé par tes tours de passe-passe, il semble revenir à la réalité quand tu lui poses ta question. Il prend une grande inspiration en haussant les épaules son regard partant vers le haut :

"Eh bien... à vrai dire... moi-même je ne sais pas. J'ai toujours affaire à un intermédiaire avec lui. Un délégué ou bien un agent. Je ne l'ai jamais rencontré mais vous devez sûrement connaître sa marque de fabrique," dit-il en désignant une plaque semblable à un écran plat en plein démontage sur le côté duquel tu distingues un symbole : trois mains qui se tiennent l'un l'autre.

"Pour certain, c'est le symbole des Contrebandiers du Troisième Voile. Pour d'autre, celui de leur fournisseur. Vous avez peut-être déjà entendu parlé de sa légende j'imagine : celle de l'Artisan. Moi-même, je ne sais pas trop quoi en penser pour être honnête.

En tout cas, il paie. Et je ne pose pas plus de question."

Vous entendez le son d'une clé que l'on passe dans un verrou au loin. La porte de l'échoppe vibre puis la cloche tinte. Par la porte entrouverte du cagibi, vous voyez une silhouette passer.

"Oh, mon assistante doit être rentrée... Mathilde ! Nous sommes dans... "la grande pièce" "

Une femme aux cheveux châtains attachés en queue de cheval pousse la porte. Ses vêtements sont tout ce qu'il y a de plus locaux mais elle dégage un air noble malgré tout. Un côté trop lisse ou trop bourgeois. Elle t'examine de haut en bas avec de grands yeux.

Manifestement, ton apparence choque désormais.

J'incline la tête tout en prononçant les formules de politesse.
Bonjour mademoiselle...

Je retourne vers Detlef à propos du tableau.

Je n'ai jamais vu ce symbole, mais le nom ne m'est pas inconnue ...
Une légende de plus ou de moins est-ce que ça change a notre vie ? Uniquement si elle est réelle ...

Mon œil gauche était noir pour Detlef, la pupille rouge était dirigée droit vers la prétendue Mathilde.
Elle possède un passé ... Un passé caché ...
Je recherche dans ma mémoire un élément clé qui pourrait me permettre de la confondre.

Chasteline a écrit:: ...Sous son tricorne de cuir mou, tu perçois des cheveux courts qui ont réussi à conserver un semblant de propreté malgré la crasse ambiante...

Une comparaison rapide de la couleur et de la longueur, en prenant en compte le temps passé, me mettra sur la voie.

Je m'avance dans la pièce ...

Votre employeur vous paye pour que vous récoltiez les bénéfices ... Soit le savoir des gens qui vous entoure ...
Je fais demi-tour. Depuis ma position j'ai les deux personnes dans l'angle de l’œil gauche...

Ne serait-ce pas pour lui, les empreintes mémoriels ?

Ma main droite est sur ma lèvre en l'attente de réponse.

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

La comparaison de la longueur des cheveux et de leur couleur après une estimation corrective après lavage et teinture te donne un résultat formelle : cette femme n'est pas Melinda.

Detlef a un rire calme dans sa voix :

"On ne peut rien vous cacher, mon cher Staft. Ou plutôt devrais-je dire "on ne peut plus rien cacher".

Mathilde, je te présente Monsieur Forrest. Un ami d'un ami qui avait besoin qu'on lui remette le genou et peut-être quelques idées en place. Pour le reste," dit-il en désignant tes bandages sur le crâne et les fils sur ta peau, "tu connais ma tendance à faire de l'excès de zèle.

Staft, voici Mathilde, mon assistante et nièce."

La ressemblance familiale ne te frappe pas du tout. Mais il peut s'agir d'une nièce par alliance après tout. Tu remarques seulement maintenant qu'elle a dû courir d'après les battements de son pouls contre son cou.

"Au fait Mr. Forrest, je ne vous ai pas demandé votre profession. Quelle est votre spécialité ?"

Mathilde l'interrompt subitement.

"Tejmur !... Tu n'as pas écouté la radio ?

- Oui, je sais ma chère, Kaen est revenue. Alleluia ! Pour autant, d'autr...

- Non, je ne parle pas de ça. Quelque chose de terrible vient d'apparaître du côté des mines ! Les gens ignorent s'il s'agit d'une contre-attaque de Gouvernement, mais en tout cas, il ne faut pas rester ici. On parle de créatures qui grouillent de partout... Il faut que l'on quitte la zone.

- Encore ??" dit-il en levant les yeux au ciel. Il se tourne vers toi :

"J'en suis désolé mais il nous faut quitter la boutique. Vous joindrez-vous à nous ?"

Bien que mon visage ne porte aucun intérêt à l'apparition de Kaen dans notre monde, la deuxième info donne quelques réactions.

Mon visage laisse apparaître une expression inquiet, anxieux.

Je répond au deux questions avec une réponse.

Avant que ma mémoire ne s’efface, j'étais un scientifique, un expert en Puit de Kaen, après le lavage de cerveau, j'étais un marchand d'artifice officiellement, et un marchand d'explosif officieusement. Et aujourd'hui, je suis un révolutionnaire, le bras droit pour être précis... Et c'est pour cela que je compte partir immédiatement pour porter main forte aux troupes qui sont proches des mines... Quand à ma spécialité ... Je suis la destruction ...

Je regarde l'expression de Detlef, avec une pointe regret.
Je suis désolé ...

Ma main gauche fait un balancement de ma taille gauche à ma droite, et mon poing se referme tandis que le gant vire au bleu saphir.

Avez vous quelque chose à dire avant que je m'en aille ?

Qu'il me réponde ou pas, j’exécute le balancement de droite a gauche brusquement.
Direction : le haut de la vielle usine, là où c'est écraser le thanatos.

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Avec son ineffable sourire, il lance avec compassion :

"Gardez l'esprit et le coeur ouvert. Quand on a la tête comme un marteau, on voit tout comme un clou."

Tu disparais aussitôt ou plutôt, la réalité s'étire sous tes pieds pour glisser jusqu'au hangar dans lequel le Thanatos s'est craché. Tu apparais au milieu des décombres du hangar, devant les portes du vaisseau toujours incliné.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] autour de toi. Des créatures difformes, pour la plupart humanoïdes ou semblables à des bêtes, des bovins ou des rapaces, mais dont les membres sont taillés comme des serpes, aux muscles secs et noueux. Des créatures qui se jettent de toute part, parfois les unes sur les autres, mais pour la plupart, sur des cadavres d'hommes déchiquetés.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Tu entends des tirs dans ton dos : une poignée de gars, tes gars, tiennent l'entrée du Thanatos et essaient de repousser les créatures qui rodent. Mais, hélas, ils ne parviennent qu'à retarder la fatalité dirait-on. Tu comptes plusieurs dizaines de ces monstres dans ton périmètre qui ne prêtent pas encore attention à toi.

Ah si, ça y est. Un à ta gauche est monté sur un amas de tôles gondolées et remue des épaules, un autre au-dessus de ta tête se suspend d'un bras démesuré à une poutrelle et déploie ses ailes, prêt à bondir. Le reste... ne risque pas de tarder à s'intéresser à toi.

Enfoiré !

C'est le seul mot qui met venu à l'esprit alors que le mouvement s'exécutait.

Il me connaissait déja !

Ce fut la pensé lorsque j'arrivais sur les lieux ... du carnage.
Il n'y avais que ce mot là pour décrire la vision.
Partout des bêtes sans âme, déchiquetant d'autres bêtes ou des hommes.
Leurs yeux brillent de malveillance. Certains fument comme l'enfer d'autre volent pour contempler le massacre.
Je repère des âmes humaines coincées dans l'entré du thanatos.
Mon visage bascule vers les survivants tandis que mon œil rouge scrute les alentours, détectant immédiatement les créatures qui s’intéressent à moi.
Ils n'auront pas le temps de me goutter. je me dirige aussitôt vers mes hommes d'un saut d'espace-temps.
Je me retrouve derrière mes hommes.
Ils ne m'ont pas vu pour le moment évitant la stupeurs qui pourrait être fatal.

On ne peux gagner ... Se replier, se sécuriser ...
Je vois un rapace foncer droit sur mes hommes.
Alors toi tu vas morfler!
Mon gant brille alors que mon bras se tend comme si j'étais en face de la bestiole et que celle-ci pouvait tenir dans ma main...
D'une main de géant invisible, j'attrape la chauve-souris.
Il y a désormais un monstre volant prit dans un étaux.
Ma main droite rejoins le gant et semble agripper le dessus du monstre.
Puis j'écarte les bras.
Dans les airs, un montre meurt, le buste arraché de ce que l'on pourrais dire le bas du corps.

Trouver quelque chose qui pourrait servir de mur. Vite !

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

"Creubleu, t'as vu ça Marc ?!

- De quoi ? De la bestiole qui vient de se fendre en deux ou parce que j'ai cru voir le boss apparaître et disparaître ?!

Marc à la moustache blonde est encore plus saisi d'effroi mais continue de tenir le front. Les cinq gars du Thanatos désignés pour lutter se relaient pour recharger leurs armes qu'ils ont heureusement en quantité à bord.

"Bordel, qué foutent dans la salle des machines ? On va pas pouvoir rester mille ans !"

Le gros bêlier dégénéré que tu as aperçu oblique soudain sa trajectoire après s'être fait piquer par une balle. Il enrage et braille son cri venu d'outre-multivers pour foncer vers tes gars. Ils lui font mal mais ne l'arrêtent pas dans sa course.

Tu entends aussi des pas sur le toit de la carcasse de ton engin. T'entends qu'on griffe de la tôle. Bref, ça attaque de partout : il te faut penser à plus grande échelle si tu veux sauver tes hommes et ta machine ! Où serais-tu le plus utile ? Au combat ou aux réparations ?

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Il parlait de remettre le Thanatos en route ? Les imbéciles, ils n'auront pas le temps ... pas sans moi...
Pour sauver ce monde il me fallait des véhicules.
Mais mon temps de retraite fut retardé par l'approche du bélier des enfers, celle-ci ne semblant pas vouloir changer de trajectoire, j'allais le prendre à son propre jeu.

Il me fallait également révéler ma présence pour donner du courage aux survivants.

Les gars ! C'est moi, Staft Forest !
Je n'ai pas le temps de vous expliquer pourquoi je suis en tenu d'horreur, mais vous devez savoir que je vais vous aider à sortir de là ! Savez-vous où est Marion ?

Ma main bleue saphir est dirigée droit vers l'animal, la paume ouverte vers lui, tel un gendarme fessant un 'stop' de sa main à un conducteur.
Bien sûr la créature continue sa charge sans prêter attention ni aux balles ni à mon signe.
~~Ce fut le mur télépathique qui stoppa la bête.~~

Oh, je sentis une énorme tension sur ma paume, je devais forcer pour ne pas céder.
La bête s'encastra dans ce mur mais n'était pas encore tout à fait morte.
j'incline la paume de 45°, vers le sol.
~~Le mur invisible s'inclina pour en finir avec le monstre, lequel laissa voir ses entrailles fumantes.~~

Je vais filer à la salle des machines pour aider vos gars, continuez de lutter et je vous jure que vous vous en sortirez vivant !

Je me retourne et m'engouffre dans les couloirs de métal.
Mon œil rouge ne cessant de tourner dans mon orbite.
c'est ainsi que je pus aisément éviter la patte qui traversa la tôle sur ma gauche
Une main de quatre griffes tentait de me prendre tandis qu'une gueule grande ouverte d'une gargouille me hurlait au visage.
Parfait.
Seules mes phalanges brillèrent pour ce coup.
Je choisissais une sphère dans la gueule du monstre, et d'un mouvement du poignet, je l'agrandis brusquement.
la tête explosa sous la pression. Une remontée gastrique sortie de ce qui restait de sa gorge, m'asphyxiant légèrement d'une odeur atroce de relent et de chair humaine en décomposition.

Me retenant un haut-de-coeur, je m'éloignais le plus vite possible.
J'atteignais enfin la salle des machines.

[Edit MJ : Il y a des limites au pouvoir tout de même. A moins que je ne le dise explicitement, tu ne sais pas si tu vas gagner...]

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Tu parviens à arrêter la bête qui dérape sur quelques mètres tandis que tes hommes continuent de la canarder. Elle finit par tenter d'obliquer sa direction pour fuir mais ne parvient guère qu'à faire quelques mètres avant de s'effondrer.

Tu t'élances ensuite dans les couloirs qui résonnent des bruits des bêtes qui travaillent la carapace du Thanatos. La salle des machines se trouve juste derrière un jet de vapeur qui s'échappe d'un tuyau éventré au niveau du toit. La majorité des gars sont là, en train d'essayer de colmater les brèches avec un peu de goudron et de tissu. Mais, hélas, difficile de maintenir les fluides de la sorte tant leur température est haute.

Les roues crantées principales qui font relais au niveau des propulseurs latéraux babords sont endommagées quand leurs courroies ne sont pas tout simplement élimées. La pression est dramatiquement basse suite aux pertes de carburant lorsque les tuyaux extérieurs ont touché le jet qui est sorti du Puits. Tu sais que ces réparations ne devraient être que mineurs et tu t'apprêtes à lancer tes sorts pour manipuler la matière quand tu te rends compte que... que... enfin...non, c'est pas vrai ! Impossible ! La réalité ne répond plus à tes incantations !!

C'est comme si la magie n'avait pas prise ici, comme si la réalité était toute rigidifiée. Réparer ça à l'ancienne ?!

Crédieu ! C'est qu'il va falloir du matériel.

Et aussi repousser la patte grande comme un homme qui vient de percer le toit du couloir juste derrière toi. Ce n'est pas avec une petite bulle télékinétique que tu risques de pouvoir la découper on dirait...

Toutefois, tu sens que tu calcules bien mieux qu'auparavant et que ton sens de la stratégie pourrait faire la différence pour repousser les démons et gagner suffisamment de temps. Mais pour cela... il va falloir organiser tes hommes et leur donner ton plan !

[reçu, j'éviterais de trop répéter cette erreur]

Mon œil noir tremblait sous l'émotion. Et mon autre œil aurait certainement fait pareil s'il n'avait pas été de métal.
Cette émotion, c'était de la colère. Il existe une chose qui me met furax, c'est lorsque la situation m'échappe autrement que par les explosions... Or c’était actuellement le cas avec ma manipulation qui ne répondait pas ...
Je hurlais intérieurement.
RAAHHH ! Par Jialle ! C'est pas vrai ! Par toutes les explosions des volcans de l'univers, c'est un cauchemars.

Mon bras gauche était en train de virer au vert, surtension ?

Je devais user de sophrologie pour ne pas perdre le contrôle.
CALMES TOI ! Respires ! Concentres toi sur la situation actuelle ! Sauves les !

Je prenais une grande inspiration, ignorant le bras qui tentait de m'agripper, mon bras redevenait bleu saphir.
Regarde autour de toi.

J'ouvre les yeux.
Je vois des hommes, pauvre âmes pathétiques, en train d'essayer de colmater des fissures et de réparer des pièces.
Ils ne réparent même pas 10 % du vaisseau...

Pas le temps, pas le temps, il faut trouver du temps ... Je vois ...

Mon œil organique était diriger vers deux propulseurs... Puis vers mon bras.

Tu as déjà montré beaucoup de ta force avec le grand, j'ai maintenant besoin de toi dans le petit ...

Je fixe la patte tandis qu'une fumée bleu s'échappe de mon gant, prenant la forme d'une longue lame, prolongement de mon bras...
Es-tu capables de couper même l'infime taille ? Quand bien même si tu pouvais couper saurais-tu souder ?

Mon bras exécute un mouvement, la fumée bleu fonçant droit vers la patte dans le but de la couper sec.

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Ta lame télékinétique s'élance contre la monstrueuse patte griffue et parvient à l'écorcher légèrement. Ca saigne noir mais, à part le hurlement enragé, tu n'arrives pas à faire plus de dégâts. En revanche, le membre remue vivement pour se retirer du toit.

Le trou béant qu'il laisse t'inquiètes car de plus petits démons pourraient passer. Mais ce qui te fait vraiment craindre le pire c'est quand la griffe que tu viens de blesser fore brutalement une autre entrée dans ton dos. Elle vient de s'abattre au niveau de tes hommes et l'un d'entre eux, qui s'appelle Jean tu te rappelles, vient de se faire lacérer une partie de l'abdomen.

La patte continue de farfouiller. Tes gars sont plaqués contre les murs et ne bougent pas au risque de subir le même sort que leur camarade qui agonise au sol.

Il faut réparer ce foutu rafiot et s'occuper des bestioles ensuite ! Ou du moins les contenir et, manifestement, tu ne pourras pas y arriver si tu continues à faire bande à part.

Quelques ordres pourraient suffire à organiser votre résistance. C'est là la différence entre démons et humains : la capacité à ne pas être submergé par un instinct défensif individuel.

Combattre ensemble ou mourir seul. Ton analyse de la situation est implacable.

Le gant avait bien une limite, s'il n'avait pas réussi à couper la patte, il lui serait certainement impossible de souder les éléments.

Et un homme venait de tomber sans que je puisse faire quelque chose. Les autres, paniqués, n'arrivaient plus à bouger...

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Je me télé-portais aux pieds de leur camarade agonisant et d'un mouvement de poignet, je tentais d'écraser, de tordre, chaque doigt de la créature. Je pointais de mon autre main chaque personne désignée... les plus proches en l'occurrence.

Toi, toi et toi ! allez prendre ces fusils là-bas !
De ma main j'amène trois armes filant dans mes mains que je passe aux survivants.
Les autres vous vous remettez au travail maintenant ! On va la remettre en marche cette foutu machine ! On va s'en sortir !
Les trois soldats, vous vous répartissez au milieu de la salle et accroupie, j'en veux au moins un à chaque ouverture et vous me canardez tout ce qui passe !
Si une seule créature entre à l'intérieur encore, vous criez à l'aide !
Celui qui sera au milieu devra prêter main-forte et s'y a plus de deux bestiole vous m’appelez !
A chaque nouvelle ouverture, un gars supplémentaire !
Vous restez le plus bas possible et le plus au milieu, on évite les murs et le plafond !

Et maintenant bande de chômeur, on se remet au travail ! Bordel !
De ma main bleue, j'aide aux travaux, tel une louche, je prenais du goudron, et je me lançais dans les réparations.

Mon œil rouge s'agitait inlassablement, afin de prévenir de grosse vague ou d'attaque... J'avais déjà repéré l'esprit du démon perforateur.

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Tu parviens à repousser la patte en y mettant toute ta volonté. Les phalanges se tordent pendant une lutte rageuse et criarde puis, finalement le monstre s'éloigne à nouveau.

Ta petite technique pour positionner les gars n'est pas extrêmement élaborée, mais pourtant elle fait des miracles grâce à sa simplicité. Les fusiliers improvisés repoussent les envahisseurs comme ils le peuvent malgré l'imprécision de leurs tirs et se relaient avec ardeur pour vous donner un maximum de temps. En fait, ton sens stratégique trouve toute sa force dans ta capacité à calculer les intervalles réguliers entre les attaques, la distance des démons en fonction de leur cri et le nombre de balles que tes camarades tirent. Ainsi, tu anticipes les temps de rechargement et peux commander leur roulement avec une précision toute mécanique. Tout cela, combinée à ta propension à détecter toute psyché qui s'approche un peu trop près, vous permet de tenir malgré le sous-nombre.

Leur stress est palpable. Les respirations longues et rapides, les mains qui s'efforcent de ne pas trembler, Jean qui agonise sans que l'on s'occupe vraiment de lui, les voix tremblantes qui t'appellent en renfort quand c'est nécessaire... tu es très très occupé mais parviens à rétablir le système interne de tuyauterie et à retaper les roues crantées. Quand aux courroies... espérons qu'elles tiennent un maximum de temps.

"Bientôt plus de munitions ! Je fonce à l'armurerie !" s'écrie François, un ancien mécanicien sur les chaînes de montage des usines Von Patel.

Il est courageux, certes, mais les bruits qui vous parviennent dans le couloir de droite qui mène à l'armure n'engage rien de bon.

Faut-il l'accompagner ? Ou bien essayer immédiatement de décoller ? Ou alors aller à l'extérieur du Thanatos pour réparer les fuites des tubes externes ? L'élément A qui s'est échappé lors du crash doit bien s'être retrouvé quelque part sur le sol. Peut-être serais-tu en mesure d'en récupérer un peu par télékinésie avant de colmater la brèche afin de garantir vos réserves de carburant.

Ce serait dommage de tomber quelques centaines de mètres plus loin après un décollage réussi parce que votre réservoir serait déjà à sec.

Je pose un regard sur Jean continuant d'agoniser à terre, je pose un genou à terre et lui murmure :

Désires-tu que j'abrège tes souffrances ?

S'il me répond par l’affirmatif, je le met sur le coté pour lui administrer un coup bleu à la nuque.

On doit non seulement assurer notre vol mais aussi notre sécurité pendant ce vol ...
Je t'accompagne !

Vous autres, occupez-vous de la sécurité de la salle, on n'en a terminé avec les travaux ici, donc à fond sur la sécurité.
Je m'engouffre dans le couloir de droite, passant devant François.

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Jean n'arrive pas à mettre ses idées en ordre, mais finalement, la douleur et la peur sont plus fortes que tout. Il te fait comprendre par un oscillement du menton qu'il veut se libérer des atrocités qu'il vit. Tu lui brises la nuque en serrant ton poing ganté avant de t'occuper du problème suivant.

Tes subordonnés sont prévenus : on s'arrête pas pour les blesser.

Vous vous élancez avec François dans un des couloirs du Thanatos où se répercutent les sons inquiétants et difficiles à traduire pour ton camarade. Mais toi... tu les analyses si facilement que cela te permet d'être confiant.

Tu as eu raison de ne pas te téléporter directement dans la salle d'armure, car celle-ci grouille de cinq démons semblables à des chauve-souris à taille humaine, leur peau brune toute glabre, qui furètent sur les caisses de munitions, trébuchent sur des obus ou se jettent des fusils au visage.

Vous les apercevez cachés par le coude d'un couloir. Tu es penché pour voir ce qu'ils font. Ils ne t'ont pas repéré. François est inquiété par les bruits alentour mais ton analyse sonore et ta reconnaissance des psychés te permettent de savoir qu'ils sont vos seuls adversaires. Mais François tremble... déjà qu'il n'était pas excellent tireur, cela risque d'être problématique s'il touche une réserve de poudre.

Et, hélas, tu vas avoir besoin de lui. Ce serait une erreur de t'y attaquer seul étant donné leur vivacité car, il ne faut pas l'oublier, le Thanatos est une vraie bombe volante qui a déjà assez subis assez de dégâts. Toute autre blessure majeure à sa structure pourrait la clouer au sol pour trop longtemps.

Durant le trajet, je fut étonné des possibilités que m'offrait mes nouveaux implant : l’œil fessait son travail avec efficacité tout comme mon nouveau système d'analyse ...

Tant mieux alors ...

Ma tête observait la salle d'armement depuis un angle de couloir.
Je reculais mais mon œil rouge restait fixé sur les psychés ...
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Je regardais François, son courage avait vite laissé place à la peur ...
Ma tête tourne vers le mur métallique d'en face.
Voyons ...
Plusieurs plan défilent : foncer dans le tas, utiliser François comme appât ...
Cette dernière idée me reste en tête, mais je commence à l'évoluer ...

Il m'est nécessaire pour la réussite de cette opération ... Trop de risque de tirer dans la pièce ...
Je le regarde a nouveaux.
Trop stresser ...

Je me tourne vers lui, je lui ôte son fusil de ses mains et je le prends par les épaules.

Regarde-moi bien, François, il y a derrière ce couloir 5 créatures semblable à des chauve-souris, dans la salle ... On doit les neutraliser et j'ai besoin de ton aide ...

Tu vois cette œil ? Il me permet de voir n'importe quel signe de vie, même à travers les murs et dans mon dos ... Et il m'indique qu'on n'a que ces créatures à tuer pour être tranquille, ok ?

Maintenant, regardes ce bras. Tu vois cette mécanique ? C'est le gant de l'espace. Je contrôle l'espace. Si je veux déplacer ou bloquer des choses, je peux le faire, ok ?

Je reprend le fusil et le place dans ses mains

Toi, tu as un fusil, et c'est avec ça que tu va buter ces bestioles ...

Maintenant, regardes ce couloir dans lequel nous sommes ... vois comme il est étroit ... Un seul front à tenir, petit espace ou tirer et pas de risque de toucher des explosifs.

Je vais te protéger en bloquant ces créatures de mon gant et c'est toi qui va leur péter la gueule ...

On a besoin de ces armes pour survivre. on a besoin de toi pour obtenir ces armes, j'ai besoin de toi, François, et je te laisserais pas tomber tant que tu n'auras tuer ces monstres.
Si tu dois reculer, recules. Je te protégerais coute que coute, c'est clair ? Je veux que tu les butes
Sors ton arme et exploses leur la gueule

Je recule dans le couloir en le guidant.

Mets-toi ici, et je me met là. Tandis que je m'agenouillais a coté de lui. Je vais les attirer. Avec de la chance, il n'y aura qu'un pour le début...

Prêt ?

Mon gant devient bleu ... Et je frappe le sol.

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Ton discours lui fait un effet incroyable. Sa respiration se calme et ses mains s'affirment. Il hoche vivement de la tête à tes ordres et se met en position lorsque tu t'agenouilles pour frapper au sol. Derechef, tu entends les créatures qui tournent la tête et descendent lentement de leurs caisses dans un demi-silence. Elles amorcent une reptation lente avant de bondir vers l'origine du son.

La première d'entre elle qui jaillit au détour du coude se fait immédiatement prendre dans ton filet télékinétique mais François la rate ! Il pousse un juron, serre les dents et recharge d'un geste souple plein de détermination. La deuxième balle ne manque pas la cervelle qui gicle aussitôt. Mais hélas déjà une deuxième créature s'est avancée bientôt suivie de deux autres qui crapahutent sur le plafond en se maintenant grâce à leurs crochets.

Il devient difficile pour toi de toutes les maintenir car elles bougent vite et avec force. François touche bien une aile ou deux mais gaspille ses munitions en tirant à côté. Difficile de lui en vouloir, car il faudrait être un tireur hors pair pour anticiper leur mouvement. Elles gagnent du terrain de plus en plus. Tu sens que, grâce à ta stratégie, vous avez tout de même un certain avantage mais ce sont les balles qui vont commencer à manquer d'ici peu. Surtout maintenant que le quatrième et dernier démon s'approche en courant sur le mur.

François va mettre du temps à recharger et il ne pourra plus t'aider à gêner leur progression. Tu sais qu'il lui reste quatre balles dans le chargeur et que si tu ne trouves pas un solution d'ici là, vous allez être submergés.

Hum, ce n'est pas génial.

Certes j'étais satisfait de la transformation sur François, mais hélas ça n'avait pas vraiment permis d'améliorer sa précision ...
Les monstres avançaient beaucoup trop et François n'avait que quatre balles.
Ni lui ni moi n'avions les compétences nécessaire de faire 1 balles - 1 bêtes.

Un changement de stratégie s'impose ...

Plusieurs balles sont nécessaire pour tuer une créature hors des balles, il y en avait derrière les monstres dans l'autre angle du couloir ...

François ! Cours ! Maintenant !

Je retenais autant que possible les créatures suffisamment pour François se soit éloigné pour courir.

Mon emprise se relâche et mon visage tourne vers François.

C'est maintenant ...

Je me téléporte juste derrière lui et toujours en courant, je lui annonce.

Je vais tenter de nous faire téléporter dans la salle des armes, si je disparais sans toi, cours, je reviens aussitôt !

Ma main gauche se place sur son épaule tandis que je visualise la salle des armes.

Mes implants réfléchissent déjà à la suite.
réussite : recharge + protection de la salle.
échec : retour pour bloquer les monstres et couvrir la fuite.

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Tu attrapes son épaule alors que ces horreurs volantes s'abattent sur vous et s'étiiiiiiiirent, comme tout le reste du Thanatos qui glisse sous vos corps pour vous placer dans l'armurerie. Ca a marché ! Tu découvres que ton gant est capable d'emmener d'autres personnes avec toi par simple contact physique. Y a-t-il une limite à ce talent ?

Grâce au coude que forme le couloir, vous n'êtes plus à portée de vue. François ne recharge son arme que lorsque tu lui rappelles qu'il n'a que quatre balles. Les créatures couinent, plein d'incompréhension.

François en abat une qui passe dans sa mir grâce à une balles sur trois bien placées. Les trois autres chauve-souris reviennent aussitôt à la charge. Elles sont plus simples à gérer, mais la partie n'est pas encore gagnée. Tu peux fermer la porte pour gagner un peu de temps et combiner ou bien tenter de maintenir le front avec une stratégie similaire ou différente.

Tu fais à nouveau problème désormais : ton cerveau boosté envisage des dizaines d'options à la fois.

Arriver dans la salle n'était pas ce qui importait, c'était que François soit là aussi.

Je lançais un long souffle de soulagement.

Je peux sauver des gens ... Merci Tejmur ...

Je peux te sauver ...

Recharge ton arme rapidement, François ... on peut y arriver !

François ... on va s'amuser un peu ...
L'angle du couloir est notre allié, alors voici le plan, à chaque fois que tous les monstres foncent vers nous, on revient à notre position de départ... Donc on aura deux fronts : dans le couloir et ici ...

Je pose un genou à terre...
et mon bras bleu diriger contre les créatures afin d'appliquer la barrière ...

Abats-moi ces monstres maintenant, c'est du gâteau !

On ne pouvait plus se faire prendre, mon œil surveillait chaque créature, si l'un d'elle tentait de piéger l'un ou l'autre des poste, je le saurais et j'en profiterais de l'infériorité numérique ...

Les rôles avaient changé, ils étaient mes proies, maintenant ! Ah, je me délectais de l'évanouissement de leurs âmes infâmes.
De leurs corps gisant sur le sol

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

François fait de nouveau quelques dégâts avant que vous ne deviez vous téléportez à nouveau à l'autre bout du couloir. Les créatures sautent une fois de plus sur du vide et s'écrasent dans les caisses en bois qui cèdent sous leur poids. Les obus qui se déversent rendent le terrain glissant pour elles. Ton subordonné en abat encore un, qui avait déjà encaissé quelques coups au poitrail.

Les deux adversaires qui vous restent échangent quelques sons suraigus avant de s'accrocher au toit et d'arracher un peu de tôle avec leurs crochets pour se glisser dans le faux plafond et disparaître. Tu sens leur psyché qui s'éloignent alors que François regarde toujours partout autour de lui comme si elles pouvaient apparaître n'importe où.

"Faut pas qu'on traîne. Les gars ont besoin de munition."

Il faudrait aussi s'occuper de faire repartir le Thanatos. Soit tout de suite, soit après réparation des dégâts dans le système d'alimentation à l'extérieur de la coque. En tout cas, désormais fort de tes nouvelles connaissances, tu sais qu'en coordonnant tes hommes, tu peux faire des miracles.

Ils sont partis ... C'est calme maintenant ...

Allons-y !

Je me précipite vers la salle des armements.

Profitons pour un petit test ...

De ma main gauche je touche une caisse de munition dans le but de la faire téléporter, seule, vers la salle des machines.

En cas de succès, je recommence...

Sinon j’agrippe le plus d'arme et de munition possible avec ma main droite, et une fois que François fait de même, je nous téléporte vers la salle.

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Tu vois la caisse grésiller sous ton contact, mais hélas, elle refuse de partir. Apparemment, le gant ne peut agir sur un environnement distant dans lequel ta perception n'a pas d'influence. Tu agrippes alors un caisson d'acier tordu par les griffes de démon tandis que François place une main sur ton dos avant de distordre l'espace à nouveau.

Vous arrivez dans la salle des machines pour respirer l'odeur déjà forte d'un cadavre dont les sphincters ont lâché. A votre arrivée, tu découvres qu'une partie du sol sous pieds a été arraché lors du transport et que certaines caisses sont éventrées en demi-arc de cercle, comme si ton pouvoir avait atteint ses limites au-delà d'une distance de six mètres. Des obus se retrouvent ouverts en deux, répandant leur poudre sur le sol.

Tu te rends aussi compte que tu as emmené beaucoup trop d'armes par rapport à la contenance de la salle des machines. Les hommes qui étaient restés croulent subitement sous les caisses ou se retrouvent plaqués contre le mur. L'espace qui n'était pas déjà grand est complètement bouché. Les amas de munitions tombent en un fatras désordonné qui amène un peu plus de chaos dans ce lieu déjà bien mis à mal.

Tes hommes ne sont pas parvenus à contenir tous les démons à l'extérieur manifestement. Plusieurs sortent de loups rétifs au corps nu de poils, rodent dans le couloir et attendent leur moment pour fondre sur vous. Philippe est en train de tenir le front comme il peut, mais tu sens qu'ils comptent leurs balles. Ton renfort est grandement apprécié.

Le gros Martin attrape une grenade au gaz et la lance sur les bêtes sans chercher à comprendre davantage ce qu'il fait. Le projectile explose dans des volutes intenses qui repoussent immédiatement les carnassiers. En revanche, les gaz lacrimogènes commencent à se diriger vers vous...

Tu entends des cris au bout du couloir. Sans doute Marc et ceux qui tiennent la porte qui viennent de rencontrer les démons lupins... tu sens encore leur psyché, mais l'une d'entre elle est en train de faiblir.

[point de destin utilisé]
[caméra faisant face au visage de Staft]

La colère monte. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Mon visage grimace sous la haine ... Le gant vire au vert ...

Des hommes ... que j'ai jurés de protéger ... Des hommes que j'ai jurés qu'ils vivront ... Et voilà que des hommes entraînent leurs morts ?
IL N'EN EST PAS QUESTION !

Mon œil repère a distance les monstres et les hommes, l'un deux est un homme dont la flamme baisse en intensité ...
mais surtout les deux autres flammes de monstre , côte à côte, que je devine prête à bondir.

Je saute ...

[Caméra, dé-zoom + rotation autour de Staft pour arriver dans son dos]

La scène : Marc et ses camarade terroriser face aux monstre, dont l'un a planté ses griffes dans le ventre d'un certain Josef, sa patte à quatre lames recourber rouge de sang, cherchant a pénétré plus profondément dans le ventre... La mort sera bientôt inévitable malgré les tentative vaine de Josef ...
Derrière le loup, deux de ses semblables se sont baisser pour un saut mortel ...

Ils n'auront pas cette occasion ...

Dans les airs, au-dessus des deux fauves, surgit un homme couvert de câble et à la main verte...
Je suis actuellement les bras légèrement croiser, poignet contre poignée, main fermés, prêt a agir, jambe légèrement courber, prêt a atterrir...

D'un mouvement sec, mes bras se tendent, tandis que les deux loups sont projetés contre les murs, écraser par une pression impitoyable, leur corps devenant charpie...

Posant genoux au sol, tête baissée, bras droit a terre mais main gauche dans les airs, doigts crispés.
Une pulsion électrique parcours un câble, se divise dans d'autre câble pour le mouvement final.

Dans un redressement réflexe, mon bras vert monte vers le ciel comme le loup à la patte rouge vers le plafond... le choc est mortel

Je n'en ai pas finis avec toi !

D'un mouvement de rotation, je projette le cadavre vers le reste de sa meute, n'ayant pu agir face a ma fureur ...

Je fais désormais face aux loups, la haine dans l’œil.

Personne ne les tuera !

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Les démons subissent des dégâts considérables devant tes chocs télékinésiques. Ils restent entiers, mais leurs fractures ouvertes laissent présager une agonie lente et douloureuse. Tu sauves Josef d'une mort qui semblait inéluctable. Le lupin est complètement sonnée par la charge au plafond, sa mâchoire brisée sous le choc.

Oui, toi. Tu viens, pour la première fois peut-être, de sauver un homme. Un de tes hommes. Consciemment et directement. Ta nouvelle puissance n'aurait-elle pas seulement changer le champ des possibles mais aussi ton lien ténu avec les autres ?

Marc relève Josef pour passer son bras autour de ses épaules. Il faut y aller ! Ou bien réparer davantage le navire. Tu ne pourras pas courir éternellement de couloir en couloir pour sauver tes hommes car tes ennemis sont légion.

Tu détectes plusieurs dizaines de psychés démoniaques autour de toi. Et, une fois de plus, ça se rapproche de toute part.