Tome 1 : Faire le vide, Episode 2 : Marcher sur les rêves (Staft)

J'observe attentivement, longuement même ...

Histoire de le faire ralentir .....

... cet avocat.

Sa tête me dit quelque chose .... serait-ce ..... oh je vois, entendue ....

Tout passe dans le regard.

Je comprend tout à fait.

Je me tourne vers l'inspecteur toujours avec le sourire

J'ai le droit d'obtenir une discussion avec mon avocat sur ma deffense ... en privée ...

J'espere donc pouvoir discuter tranquilement face a cet avocat~~-sbire-révolutionnaire~~.

[ tu dit que j'ai le droit d'inventer ? ]

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

[Alors oui, tu peux inventer, mais en général quand j'amène un PNJ comme ça, j'ai du scénario derrière. Donc celui-là m'appartient pour l'instant, libre à toi de poser les questions in-game ou de tenter des déductions.]

Le Chef de la police souffle une nouvelle fois avant de sortir.

"Faites vite, je dors la nuit. Moi !"

Il vous laisse dans le bureau alors que ton avocat perd légèrement de sa raideur. Il marche, mains dans le dos vers la bibliothèque à ta droite.

"Hum... donc...hum Mr. Forrest, il faut que... hum... je connaisse le moindre détail sur vous si je dois vous défendre."

Il sort une montre à gousset de sa poche pour regarder l'heure avant de la ranger avec un geste sec.

On m'accuse d'avoir fait sauter l'usine d'un concurrent, vu comme ça j'avoue que c'est mal parti, mais ce n'est possible puisque...

je dis avec un geste théatrale ...

Pas plus tard que le soir même j'étais parti donner ma commande de fusée, pour laquelle je fus fort bien payé !

Je montre justement la liasse de billet reçue le matin même.

... alors d'après vous qu'est-ce qui peut m'aider à faire tenir mon alibi ?

[Surtout, n'hésite pas à relire tes posts et à user de la fonction Edit en haut à droite]

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Ton avocat hausse son sourcil droit, un air incrédule sur le visage.

"Je ne comprends rien du tout à ce que vous dites. Pouvez-vous être plus précis, je vous prie ?"

Je soupire, et je m'assoie à table.

Explosion, il est bouché ce type.

Bon : vers 9 heure 00 du matin, je reçoit une commande : fusée spéciale à recevoir le plutot possible à l'embouchure d'un canal pour 5000 négociable.

Je reprend ma respiration.

On inclue de la vérité afin que le mensonge soit plus vrai

Il avait précisé qu'un homme s'y tiendrait, ce qui fut le cas.

Fermeture du magasin à 22h ; durant la première partie de la soirée, avec l'aide de mes apprentis, je fabrique la commande ce qui nous prend 5heures, puis une fois mes apprentis partis se coucher, je dort 1 heure.

Ensuite, je me rend au canal pour y donner ma commande, je reçois l'argent après un marchandage, le trajet me prend 1heures tout comme le marchandage, enfin je retourne à la boutique où les policiers m'attendent

Es ce que c'est plus précis comme cela ? Demande-je la tête légerment inclinée, mains sur la table, toujours menottée ....

[ quelque chose me dit quand même que ce jdr n'est pas fait pour moi, si je suis réduit qu'a faire des échec comment voulez vous que je réussisse quelque chose ]

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

[Mais là tu n’as pas échoué. D’ailleurs ton roleplay s’améliore nettement quelques posts. Là, j’essaie juste de t’amener sur une voie qui correspond à ton objectif global (cf partie privée). Donc si tu veux jouer un bad guy, je vais faire en sorte que tu cotoies des gens qui partagent tes idées et qui voudront t’aider !]

Ton avocat claque des doigts, un peu plus souriant.

« Ah, oui ! Voilà qui est plus substantiel ! »

Il te pose encore quelques questions pour étayer ta version mensongère avant que vous ne fassiez rentrer à nouveau le chef de la police dont tu ne connais toujours pas le nom. La série de questions recommence et le commissaire entend ce que tu as à lui dire avec un sourire de plus en plus prononcé.

Ton avocat montre une méconnaissance du droit assez affligeante et ne t’aide pas vraiment. Peut-être qu’en faisant appel à un avocat réputé que ton réseau d’influence aurait pu retrouver, tu aurais pu mieux t’en sortir. Mais est-ce seulement ce que tu veux ? Probablement, tu as un plan pour que l’incarcération serve tes desseins…

Lorsque vous finissez l’entretien, tu remarques une chose : le dossier qui était manquant sur la table du commissaire est de nouveau là ! Pourtant, il n’y avait que vous trois dans la salle pendant tout ce temps.

On te met dans une cellule du commissariat et ton avocat, aux traits toujours familiers sans que tu n’arrives encore à mettre le doigt dessus, vient te voir l’air un peu dépité.

« Hum… je crains que… hum… vos apprentis n’aient donné une version différente de la forte. Ils ont tous été interrogés séparément et ont tous… hum… dit la même chose… je crains que les horaires ne correspondent pas aux vôtres. »

Assurément, ce sera suffisant pour te faire inculpé par un juge que Di Gorgio aura dans la poche.

« Je vous avais pourtant prévenu qu’ils vous trahiraient » dit-il avec un sourire et un clin d’œil amical, perdant alors complètement son accent petit bourgeois.

Tu tiltes enfin : cet habit, cette moustache, cette façon de parler, tout cela est faux ! C’est l’énergumène que tu as vu tout à l’heure dans le bureau du chef de police sous ce déguisement ridicule.

Hélas ... Ils ont le droit de faire ça. Je supose que vous travaillez pour Di Gorgio, ou plutot pour une femme très clientes également, non ?

J'aurai pu me tirer d'une faço légal, mais vu que je suis entourez d'énémis, avec une justice pourri, autant rejoindre les révolutionnaires et pour ça rien de tel que la ...

Je m'allonge dans le lit, et rumine un peu

Mes feux d'artifices me manque ... laisse je échaper à voix hautes ...

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Le faux avocat laisse échapper un rire discret, sans sa voix à la con de tout à l'heure. Celui dont tu ne connais pas encore le nom fait le tour de la cellule, mains dans le dos :

"Ah, Monsieur Forrest, ne vous méprenez pas. S'il faut savoir reconnaître ses ennemis, il faut aussi ne pas se tromper lorsqu'un ami frappe à votre porte.

Je travaille bien pour une femme et, si jamais tout ce que vous m'avez dit n'était pas un tissu de mensonges, vous l'avez rencontré ce matin."

Il tend un doigt vers une poche de ta veste.

"Vous serez transféré à la Chasteline. Nous ferons en sorte que vous soyez dans la bonne aile. J'ai mis une... "clé" dans votre poche. Elle vous permettra de récupérer... ce qui vous manque si chèrement," dit-il en haussant les sourcils.

Tu connais la Chasteline, cette prison érigée sur une petite île, reliée seulement par un immense pont.

"Nous comptons sur vous pour attendre notre signal, coordonner les prisonniers. Posez des questions, intéressez-vous à eux, demandez leur nom, ce qu'ils font.

Bref. Intéressez-vous à eux."

Puis, plus bas, mains sur les barreaux de ta cellule temporaire.

"Vous êtes le seul à pouvoir éviter que cette révolution ne s'étouffe. Nous avons besoin de vous, Monsieur Forrest !"

Un regard surpris passe dans mes yeux à l'annonce de la clée, et il s'accentue en entendant la possibilité de récupérer les explosifs. Mais je ne vérifie pas si elle est bien là cependant. Ensuite, après une intense reflection, je déclare.

Je savais pour l'explosion de la prison mais de là à non seulement m'échapper et à diriger les autres...

Tant que je serais l'artisant de la destruction , ça peut aller, vous avez déja constaté que je ne trahie pas, aussi verrai-je ce que je peux faire pour cette commande pour le moins inhabituelle.

Une question d'ordre judiciaire cependant : dois-je accelerer la procédure ou me défendre inutilement ? vous comprendrez en tant qu'avocat qu'il est bon de savoir quoi faire, sous peine de se retrouver plus bas que prévu, là dessus je ne suis pas un professionnel.

J'attends sa réponse, apparment soucieux de ne pas réussir...

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

"Pour votre incarcération, je m'en occupe," dit-il avec un grand sourire.

"Rappelez-vous : intéressez-vous aux gens, faites-vous des amis, demandez-leur leur nom par exemple.

C'est très important de connaître le nom des personnes et des choses, d'être curieux, vous voyez. Par exemple, je connais votre nom, parce que je vous l'ai demandé. Il ne faut pas avoir peur de poser des questions, c'est en général une très bonne source d'information."

Il se pince un peu les lèvres en s'appuyant sur sa canne, prêt à partir. A moins que tu n'aies d'autres choses à lui demander.

[Je ferai l'ellipse une fois que ce sera bon pour toi.]

Je ne pose pas de question et réfléchit toujours ... ( ellipse )

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Ton « avocat » te quitte donc, se chargeant de la procédure. Durant les 24 heures qui suivent, tu encaisses les chefs d’accusation et passes en comparution immédiate chez un juge que Di Gorgio doit sûrement avoir dans la poche.

La peine capitale. Ni plus, ni moins. Tu seras incarcéré à la Chasteline pendant trois jours avant d’être guillotiné en place publique.

Trois jours, c’est donc le temps que tu as devant toi pour préparer cette évasion. Tes amis ont-ils un plan ? En es-tu au courant ? Est-ce que votre coordination sera cruciale pour réussir ? Penses-tu avoir toutes les informations nécessaires pour réussir ?

Toujours est-il que l’on te transfert jusqu’à la prison en t’amenant dans un chariot-cellule jusqu’au Pont du Désespoir, cette immense construction de bois et de métal qui enjambe un bout de l’océan Kaenique pour atteindre l’île d’Elie où se dresse la forteresse triste qui sera ta prison.

Tu passes la première herse au son du ressac qui s’écrase avec force contre les rochers noirs et vermoulus. L’humidité maladive de l’atmosphère ne fait que se renforcer à mesure que tu t’enfonces dans la prison. Des gardes aux mines lugubres et dépressifs te dévisageant à ton entrée. Aux fenêtres hachurées de barreaux des bâtiments, des bras malingres s’accrochent ou saillent pour t’acquérir dans un cri désorganisé. Tu as entendu beaucoup de choses sur le caractère impitoyable du monde carcéral mais le vivre… voilà qui est différent.

Tu passes une seconde porte de bois large et haute qui crisse sur ses gonds. Puis, tu descends, encore et encore, des escaliers de pierres usées mal éclairés par des torches fatiguées. On te fait entrer dans une alcôve étroite qui t’oblige à te vouter lorsque tu te lèves. La paille au sol doit charrier moultes maladies et ce n’est pas les toussotements de ton voisin de cellule qui va t’en dissuader. Les parois sont de pierres, aussi, pour parler, il faut se mettre à l’entrée de la geôle. En face de toi, un vieil homme décharné tente de repousser un rat qui vient d’entrer dans sa cellule.

Quelques centimètres de pailles pour lit, la pierre, une fenêtre donnant sur le grand large noirci par des nuages de tempête et rien d’autres.

Une fois seul en cellule, ne se souciant guère du vieux, je marmonne, c'est pour moi une meileurs façon de mettre les choses au point.

Donc ... trois jours ... forcement l'intervention avant ou pendant ce temps ...

Je me met a faire les cent pas.

D'abord situation géographique : l'île d'Elie, une herse, une porte de bois ... un escalier ...

Il s'arrette devant la grille puis lui tourne le dos.

Une grille ...

Explosion ... brèche ... zone non atteinte ... sortir ... trouver la brèche ... rassembler ... sortir ... détruire ...

Il termine sur ce mot :

Mission ...

Je me dirige vers la grille guettant la présanc de garde ...

commençons la poudre ...

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Tu atteins quelques minutes sans qu'aucun garde ne pointe son nez. Finalemnt, la personne dans la cellule de gauche presse son front contre les barreaux rugueux de sa geôle. Tu entends le son d'une chaîne qui traîne et se tend, puis la voix fatiguée et lente du prisonnier :

"Héééééé... on commençait à manquer de sang neuf ici... alors, toi aussi ils t'ont choppé ? comment tu t'appelles ?"

Manifestement, il te prend pour un révolutionnaire. Ce qui n'est pas vraiment faux.

Je regarde en direction de l'homme ...

dois-je lui faire confiance ...

après tout pourquoi pas

Je décide donc de déclarer :

Staft, et non ils m'ont pas choppé ... J'arrive pour vous passez une info capital, votre nom ?

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

"Hugues," dit-il en tendant les bouts de ses doigts pour avoir un semblant de poignée de main avec toi.

"Une information ? Quelle information ? Judith m'a retrouvé ??"

Il semble déjà hors d'haleine en prononçant ce nom. Tu fais naître un bout d'espoir chez lui.

Je réfléchis.

Il faut jouer finement

En fait, je ne suis un rebelle que depuis récemment, après avoir fait sauter une usine, je sais que d'ici moins de 3 jours, une intervention ... explosive surviendra. Je pense qu'elle t'a repéré, oui, je suis là pour rassembler le maximum de prisonniers prêts à rejoindre les révolutionnaires

Je m'adresse désormais a ceux qui veulent entendre sans crier toutefois, sachant que mon écho porte loin.

Ecoutez ... tous ... Ecoutez !

Je suis Forest Staft, membre des révolutionnaires, si vous voulez une seconde chance ... Si vous trouvez cette justice injuste, si vous trouvez ce monde pourri, alors joignez vous à moi d'ici moins de 3 jours, rejoignez les révolutionnaires, ayez un but dans la vie ! soyer l'auteur du changement de cette histoire où votre role sera plus important que de rester à l'ombre de de ses barreaux ! Changez votre Vie ! Changez votre destin !

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Tu sens que tu captes l'attention de tous dans la gallerie de la prison. Quelques grognements intrigués s'élèvent puis une voix monte à ta droite, celle du prisonnier dans la cellule mitoyenne.

"Et comment comptes-tu sortir d'ici, Staft Forrest ? Comment vas-tu faire pour briser ces chaînes ?!"

Tu as un début de soutien, il faudrait maintenant un début de plan.

Pour répondre à la question du dit prisonnier je tente de sortir de ma cellule (avec la clé).

Spoiler:

[ ah quoi ressemble t'elle ? ]

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Staft a écrit:: Un regard surpris passe dans mes yeux à l'annonce de la clée, et il s'accentue en entendant la possibilité de récupérer les explosifs. Mais je ne vérifie pas si elle est bien là cependant.

Lorsque tu fouilles dans ta poche, tu ne trouves pas de clé mais une statue taillée dans l’ivoire à l’effigie de Galu le Sage, un des Disciples de Kaen. Si c’est une clé, il faudra trouver la serrure…

Quelle dommage que tu n'aies pas regardé avant, peut-être que le-faux-avocat-dont-tu-ignores-le-nom aurait pu te donner des précisions.

Mais ton intense réflexion portera sûrement ses fruits.

Je ne sais ce que je ressentie, la clolère, la frustration ?

Oh explosion ! poudre et soufre ! enfer et soufle !

Je me met alors à tourné en rond dans sa cellule

Reste calme, reste calme, c'est un test ... d'abord ... maintenir ... l'espoir.

Je tente de me reprendre en maitrisant ma respiration, j'avais laissé tomber la statuette sur le lit ... Je répond d'une voix le plus assurer possible

Hé hé, c'est simple, on m'a donné la clée de ma cellulle, ensuite vu que je suis invocateur, ce ne sera qu'une question de seconde pour vos chaines, donc n'ayez crainte pour cela. Rester calme et reposez vous, et soyez ... pret au signale ...

ça c'est fait, la poudre n'est pas mouillé ...

Je me tourne vers la statuette ...

Et voici le briquet ...

J'observe d'abord la pièce cherchant sur le mur, un emplacment ou un socle où posé la statue.

Principe d'un détonateur : la position, aussi bien géoghraphique, que physique ...

j'observe également le plafond puis les cellules

enfin, j'observe la statue elle-même

Un briquet étrange ... ou alors ...

Je secoue la statuette.

Le vrai briquet est à l'intérieur ...

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Lorsque tu secoues la statuette en la portant à ton oreille, tu peux entendre un tintement distinct. Sa masse et sa densité semblent mentir par rapport à son volume. Néanmoins, tu te rappelles des paroles de l'inconnu qui t'a aidé :

l'étrange avocat a écrit:: J'ai mis une... "clé" dans votre poche. Elle vous permettra de récupérer... ce qui vous manque si chèrement.

Il parlait probablement de tes explosifs. S'il y a une clé à l'intérieur, elle ne risque donc pas d'ouvrir la cellule et si tu brises la statue maintenant, tu prends de gros risques à te balader avec une clé suspicieuse sur toi.

Je ne casse pas tout de suite donc ... et on est partis pour attendre le signale

Oui, il faut attendre le signal ...

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Les autres prisonniers, un peu agacés par ce ton énigmatique lancent avec une impatience distincte :

"Mais quel signal ?"

"A quoi i'ressemble ?"

"Quand qu'y vont l'faire ?"

Es-tu certain que tu ne dois pas récupérer les explosifs d'abord ?