Tome 1 : Faire le vide, Episode 2 : Marcher sur les rêves (Staft)

Voyons voir d'abord a quoi ressemble la clée, ensuite je verais

Je vous ai déja dis ça, avant 3 jours, ils comptent sur moi pour vous rassembler; je leur ai déja fournir les nitroglicérinne, les explosif en gros, qui sera le sigal au moment de l'explosion.

Souffre, ils sont bouché en plus

Ils peuvent entendre le bruit d'une statue cassé

je viens de récupérer la clée me sent obligé d'ajouter

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Une rumeur se répand dans le couloir, hésitant encore à te croire ou à te suivre. Il n'y a qu'un dizaine de prisonniers dans ce couloir, comment faire pour parler avec tous ceux qui sont dans les autres couloirs de la prison ?

Lorsque tu brises la statue, ce n'est pas une clé que tu trouves mais une large pièce de monnaie en or frappé à l'effigie d'un écusson qui n'est pas centilien. Ce n'est pas un Nyaa, ni même un DéciNyaa. Cela semble bien plus précieux et si c'est une clé qui te permet d'accéder à un stock d'explosifs, il ne faut pas le prendre au sens littéral du terme.

J'ai l'impression que la corruption est de rigueur ici ...

Je demande

Comment sont les gardes ? l'argent les attire ?

J'espère une réponse positif, histoire de me balader à ma guise

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

C'est le vieillard malingre de la cellule d'en face qui te répond de sa voix chevrotante.

"Oui-da qu'ils le sont ! Mais de toute façon ces vautours auront ton argent sitôt que ta tête roulera sur le sol, mon garçon."

Cela dit, peut-être qu'ils ne pourront pas attendre ta mort pour avoir ce que tu as entre les mains. Mais est-ce bien prudent de dilapider ton seul bien auprès du premier maton venu ? Ne faudrait-il pas corrompre la tête pour contrôler le corps ? Et est-ce bien à cet usage que cette pièce t'a été destinée ?

Il va falloir faire des choix. Mais on choisit toujours mieux quand on connaît bien une situation, or, le fonctionnement de ce pénitencier t'est complètement inconnu pour l'instant.

La nuit est tombée depuis tout à l'heure d'après la lumière bleue foncée qui filtre à travers les meurtrières du couloir. La fatigue reprend bien vite ses droits, surtout vu le peu de sommeil que tu as pu prendre la nuit dernière.

la coruption, oui ... mais pas la tête ... le troue ... oui ... le troue ... oui

Je m'enfonce dans un sommeil réparateur sur cette pensé

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Difficile de bien dormir dans de telles conditions. A même le sol, l'odeur de la cellule te soulevant le coeur, tu finis par devoir choisir entre l'humidité pestilentielle de la paille et le froid saillant de la pierre. Sans parler des rats qui te mordent toutes les dix minutes, charriant tu ne sais quelles maladies.

On ne s'habitue pas à l'odeur d'urine mais le pire, c'est quand toi-même tu sens que tu vas avoir besoin de te soulager et que cela ne va faire qu'empirer ta conditions.

Tu te dis que ce n'est pas plus mal de n'avoir que trois jours, car il y a de quoi devenir fou rapidement dans ce genre d'endroit.

Au matin, après cette nuit cauchemardesque où tu n'as jamais vraiment connu le repos, tu as froid. Tes yeux piquent et tu sens que ton système immunitaire bataille ferme. Pour l'instant, tu n'as pas d'autres symptômes mais tu redoutes ce qui pourrait arriver adns les prochaines 48h.

Il est réellement temps de remonter les manches pour mener la lutte !

Dans la cellule en face de toi, à gauche de celle du vieillard rachitique, tu remarques pour la première fois un homme chauve et ventripotent qui te sourit de ses dents noires. Il semble porter de nombreux tatouages sur le corps et le visage :

"Alors le nouveau... Staft, c'est ça ? Il parait que t'as d'l'or sur toi ?"

Bonne pioche, le bougre ...

Pour bien le prouver, je joue à pile ou face avec la piece, en fesant gaffe à ce qu'elle ne m'échape pas

Il ne me reste juste à savoir quel garde corrompre, j'hésite entre le moins gradé et le maitre des clée ...

d'un coté le mettre des clée m'offre la clée de ma cellule, tandis que le petit gradé pourra avoir un forte tendance a changer de vie, quitte a arreter sa profession actuel si tu voit ce que je veux

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

De sa voix erraillée, il laisse échapper un rire rauque :

"Et qu'est-ce qui t'fait croire qu'i vont pas tout bonnement te la prendre ta pièce et te remettre dans ta cellule une fois qu'l'auront en poche ?

Faudrait déjà que tu le rencontres le maître des clés, mais personne sait qui c'est ici."

Tu tousses plusieurs fois quand le vieux de la cellule d'en face s'approche en rampant de ses barreaux. De son oeil fou, il scrute l'obscurité qui t'enrobe :

"Ooooh que si... moi je le sais... c'est une vieil légende de la prison, mais il paraîtrait que celui qui fabrique les clés des cellules...

est lui-même un prisonnier de la Chasteline !"

Un frisson te parcourt, il va falloir percer à jour tes codétenus.

N'étant pas réelement géner par l'odeur de sa cellule, il faut dire que j'avais parfois des comportement de machine quand les chose ne m'était pas utile, je me met donc a réfléchir.

mmm, un prisionner ... ... pourquoi pas ! niark !

Quelques instants plus tard...

Ting ... Ting ... Ting ...

Telle est le bruit d'une pièce d'or joué a pile ou face

Ting ... Ting ... Ting ...

Allez viens donc petite bombe, viens donc ...

Ting ... Ting ... Ting ... Ting! tiinng tiinng ......

Merde !

La piece est tomber ... dans ma cellule bien sur, mais les autres ne savent pas...

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

[Edit fait, n'hésite pas à poster ce type de message dans ta partie privée quand tu veux préciser une action. Wink

]

Ta pièce tombe au sol dans un tintement clair, côté face. Elle indique un galion, un navire à trois mats tourné vers la dextre et une devise est gravée en-dessous : "Agir ou mourir".

Mmm si le maitre des clée était dans ce couloir, il aurait probablement ouvert sa cellule pour voir si la piece était tomber dans le couloir ... donc en théorie, il ne se trouve pas ici ...

Il est marrant, l'autre, et pourquoi je demanderai pas directement à tout le monde si quelqu'un a la clée de ma cellulle, autant mettre feu a la pourdre sans avoir installé de mèche ...

Parade facile : il me donne la clée et ... le double !

Attendre que le garde arrive lui présenter la pièce, lui demandé les clées ...

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

L'endroit étant mal éclairé et les cellules pleines de chaînes qui teintent, le son de ta pièce sur le sol n'attire pas plus l'attention de tes voisins d'infortune.

Toutefois, le vieillard squelettique et le tatoué rondouillard maintiennent leurs regards sur toi. Ce qui n'est pas nouveau non plus.

Te reviennent en tête les paroles de l'avocat alors que tu tousses une fois de plus.

Citation :: "Nous comptons sur vous pour attendre notre signal, coordonner les prisonniers. Posez des questions, intéressez-vous à eux, demandez leur nom, ce qu'ils font.

Bref. Intéressez-vous à eux."

Hugues, ton voisin de gauche se rapproche une nouvelle fois des barreaux alors qu'un matin pluvieux se lève par la minuscule fenêtre au bout du couloir.

"Tsst... Il arrive !"

Dans un concert de cliquetis, les prisonniers se rapprochent du couloir, mains tendus en avant alors que tu entends le bruit des pas d'un garde qui descend. Il est gras, large, bouffi, les cheveux ébourriffés sous son tricorne usé dont les craquelures du cuir le disputent à celles de son complet.

Dans sa main, il tient une marmite de bouilli où un petit essaim de mouches gravitent. Les détenus mettent leurs mains en coupe pour toute assiette, recueillant la mixture infecte et glissante entre leurs doigts souillés.

Réduits à manger à l'état animal ce qu'un chien dédaignerait. Seul le tatoué semble bénéficier d'un statut privilégié : il sort de l'ombre une chopine aux cabossures rouillées.

Le ventripotent s'approche de ta cellule en faisant racler sa louche biscornue contre le fond de la marmite.

Ting... Ting... Ting...
Ainsi fait sonner la piece d'or que je porte ...

Pourrais- je vous demander quelques objets et en plus me laisser voir cette homme
Je montre celui qui à la choppe

Il se pourrait que ce soit lui ...

puis j'attend la réaction du serveur ...

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Avec un regard absent, il déverse l'infecte contenu de sa louche à terre, devant ta geôle là où tes mains auraient dû être selon ton jugement. La bouilli à la texture vomitive s'écrase dans un crissement moite pour faire voler des éclaboussures peu ragoûtantes.

"T'gueule le mort !" postillonne le garde avec l'accent des hommes avinés.

Puis il tourne son nez rouge vers le prochain prisonnier avant de se rendre compte qu'il n'attrape que du métal avec son ustensile. Après un haussement d'épaules, il commence à faire demi-tour, laissant ainsi bien des détenus sans pitence pour la journée.

Si tu veux tenter quelque chose avec lui, il faut le faire vite ! Mais ne t'attend pas à ce qu'il te traite mieux qu'un chien... cette raclure pourrait très bien être doublé d'un sadique.

"Si tu veux me causer, cause-moi directement !" te lance l'homme à la chopine.

Je laisse passez la garde ... et décide de discuter avec l'autre, décidant d'oubliez la nourriture ...

Est-ce vraiment cela ?

... au sol et parle avec le prisonnier.

Ne serait tu pas le fameux maître des clés ?

Autant taper directement sur le sujet ... la question peut paraître brutal, mais dans une prison ...

... Sinon pourrait savoir ton histoire avant d'être ici ... il faut que je me renseigne, vois tu ...

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Le bonhomme rit en te donnant tout loisir de mirer la mixture à peine mâchée qui lui titille les amidales.

"Ah, qu'j'aurais aimé l'être le maître des clés ! Mais c'est qu'une fable, un racontard pour les enfants de ce maudit pénitencier. Un truc pour donner de l'espoir à ceux qui vont mourir. Si je les avais ces foutues clés, je serai déjà en train d'enfiler des putains sur l'île des Cinq Maudites, un verre de grog à la main et les tripes d'un marin au bout de mon sabre !"

A son rire gras fait écho celui d'autres prisonniers à ta droite, ceux qui n'ont pas eu leur lot de nourriture. D'après ses tatouages, son histoire et son verbe, tu dirais avoir affaire à un pirate... peut-être en sait-il plus sur le galion qui est frappé sur ta pièce de monnaie.

"Vont nous pendre ! Demain à l'aube, vont tous nous mettre la corde sous le cou. Ca fait cinq jours qu'on est là... mais moi je dis que y a pas plus de Maître des Clés dans ce trou à mort que d'eau dans la panse des gardiens."

"Tu oublies vite tes anciens passagers, Morel !" lance une vois féminine sur ta gauche. Sous son tricorne de cuir mou, tu perçois des cheveux courts qui ont réussi à conserver un semblant de propreté malgré la crasse ambiante.

"Capitaine Morel !" tonne l'homme aux tatouages, "j'aurais dû te couper la langue tant que t'étais enchaînée dans ma cale. Et pis t'passer d'ssus, tiens. De diable ! que j'ai respecté ta petite fleur. C'est pas l'honneur qui va m'sauver du gibet demain..."

S'informer, s'informer, s'informer ...

Ah et bien, je pense que vous pourriez me renseigner la dessus

J'envoie la pièce d'or vers la cellule

Cette d'or est censé me permette quelque chose afin d’accéder à des explosifs, j'ignore son origine, peut-être que vous en tant que forbant vous pourriez m'informer ...

Et pourquoi pas ?

aurait il d'autre de vos camarade dans les autres couloirs ?

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Le bougre rattrape la pièce au vol en la mirant comme le dernier trésor qu'il aura jamais entre les mains. Sur quoi il n'a probablement pas tord. De ses dents gâtées, il mord la ferraille sans parvenir à tordre le métal.

"D'vrai or qu'on dirait. Mais..."

Ses coéquipiers tendent les bras en-dehors de leur cellule en suppliant leur capitaine de leur faire voir ce précieux objet. Mais il les rejette tous en bloque, complètement absorbé dans sa contemplation :

"Nanain les gars ! 'Tendez que votre capitaine, finisse.

On dirait. Oui, on dirait l'Araignée... ce vaisseau, 'core une légende. Mais une légende vraie. Le Galion de la Patte-de-Fer, celui qui ne laisse pas une planche après un abordage, qui dévore tout entier son adversaire... on dit qu'il est protégé par un enchantement, que personne peut le tuer. Que tant qu'il aura ces pièces à bord de son navire, il sera protégé de tout le Multivers.

Ah !" lance-t-il dans un rire postillonnant, "ce que je donnerais pas pour voir si la Patte-de-Fer a perdu son butin... et tuer le légendaire capitaine de l'Araignée... ah," bave-t-il en te relançant la pièce, "si t'arrives à nous faire sortir d'ici p'tit gars, y aura une place pour toi sur mon navire. Cette pièce... oui... cette pièce..."

Il est presque en transe alors que tu as une terrible envie de te soulager malgré la faim qui te tenaille. Si seulement tu pouvais utiliser tes talents pour faire éclater cette serrure...

Un vent souffle à travers la mince fenêtre du couloir, rappelant un souvenir à Hugues.

"Ce que je ne donnerai pas pour un peu l'air glacial des îles du Nord. Je me rappelle un soir, il avait fait si froid que notre mât avait cassé net sous le givre... BANG ! Sans prévenir."

Je m'en vais uriner dans un coin de la cellule, respirant par la bouche.

"du fantastique ... peut-être

Je décide de vérifier par la fenêtre

mmm un peu de vent ... ou autre chose

Depuis la fenêtre je demande d'une voix forte afin de me faire entendre

Et vous autres, chère camarade de couloir, que fessiez vous avant de vous faire prisonnier

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Pendant les quelques heures suivantes, tu entends les prisonniers raconter leur histoire, se renvoyant la balle, rebondissant sur les anecdotes les uns des autres.

Le Capitaine Morel et la dizaine d'hommes de son équipage se sont fait capturés en mer par les autorités. Ces pirates avaient à leur bord Melinda, la fille d'un nobliau d'après ce que tu as compris, qui possède des îles aux larges de Dénéo 6. Quant aux autres, le vieil homme rachitique, Herman, semble avoir perdu la boule, racontant des bribes de souvenirs incohérents de temps à autre.

Enfin, Hugues, vient d'un incarnat différent apparemment. Son récit est absolument passionnant, si bien que vous l'écoutez tous pendant des heures vous racontez son amour pour Judith, comment il a dû faire croire à sa mort pour la sauver, ses rencontres avec des rois, des miséreux, des illusionnistes ou des juges.

Malgré tout, la faim te déchire le ventre alors que tu sens une fièvre carabinée poindre. Les crises d'urticaire et les tâches sur ta peau deviennent de plus en plus inquiétantes. Tu commences à te demander si c'est cette maladie ne va pas t'emporter avant que l'on vienne te chercher pour te pendre ou te couper la tête.

Sortir, il faut essayer de sortir. N'y a-t-il donc aucune corde à ton arc qui puisse te permettre de briser ce verrou ?

Morel, au détour d'une conversation revient vers toi :

"Au fait, qui c'est qui t'as donné c'te pièce ?"

Un revolutionnaire, il l'avait dissimulé dans une statue en me la donnant, apparement cette piece me permettrait d'acceder à des explosifs ... mais sans plus

Cette maladie ... il faut que je me déplace, il faut que je bouge, je ne parviens plus a ignorer l'odeur, explosion !

Bon ! j'en est un peu marre d'attendre, je penser l'utiliser plus tard mais vu la situation

bon un porte brisé ça fait pas grand chose ... mais une porte dont la serrure ne marche pas, ça se voit pas !

Je jette donc un sort, enlever détruisant la partie de la serrure scensé bloquer la porte, afin que de l'extérieur la serrure semble être normal

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Ainsi, comme si de rien n'était, tu désoudes proprement le loquet qui émet à peines quelques feulements métalliques. Depuis le début, tu aurais pu sortir, mais tu as choisi de rester. Pour t'attirer la sympathie de ces hommes, pour les comprendre et les écouter.

Cela t'aura valu de chopper une saloperie, mais tu as gagné leur support incontestablement. Aussi, quand tu te retrouves dans le couloir, libre comme l'air, tous se lèvent et te regardent comme le messie tandis que le vieux bouc lance de sa voix erraillée :

"C'est le Maître des Clés !! Je vous l'avais dit !"

Les bras se tendent à travers les barreaux pour te supplier de tous les libérer, mais hélas, tes réserves d'énergie sont quasiment épuisées. Tu pourrais sans doute lancer un nouveau sort pour briser quelques loquets d'un seul coup, mais est-ce que tu désires griller immédiatement ta dernière cartouche ?

Du calme ! Du calme !

Je me tourne vers le fou

Premièrement, je ne suis pas le maître des clés sinon je ne ferait pas ce que je vais dire ...

Je marche le long du couloir ignorant les bras tendu vers moi

Dois-je vous rappeler qu'il faut attendre le signal pour espérer sortir d'ici ?

Les main doivent certainement descendre à présent ...

Ma magie n'est pas assez puissante pour tous vous faire sortir, quant bien même je n'aurais ensuite plus la force de vous faire sortir vivant de cette enfer !

Je vais allez voir les autres couloirs afin de préparer les autres prisonniers

Je m'approche de la cellule du pirate

La pièce s'il te plait ...

[ en supposant qu'il la donne ]

N'oubliez pas ! patience !

J'ai vais dans les autres couloirs, discrètement ...

[Edit MJ : Il te l'a déjà rendu (voir qq posts plus haut) Smile

]

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Tu quittes le couloir malgré les supplications que te lancent les détenus. Hors d'ici, l'air est un peu moins vicié et moins chaud, ce qui te permet de te rendre compte de la fièvre qui commence à naître sur ton front.

L'escalier de pierres grossièrement équarries te conduit jusqu'à un couloir perpendiculaire. Lorsque tu passes la tête à gauche, tu aperçois le garde que tu as vu tout à l'heure. Assis sur son postérieur grassouillet, il tient un pichet de vin à la main pour moitié renversé sur le sol dessinant une flaque bordeau dans laquelle il bave abondamment. Sa tête est penchée contre le mur et devait être coiffée d'un heaume à nasal épaisse avant que celui-ci ne roule au sol à un moment donné de la beuverie. Derrière lui, tu aperçois l'entrée d'un escalier descendant.

Le couloir est relativement large mais tu devras néanmoins l'enjambée pour pouvoir passer discrètement.

A droite, l'endroit est désert et donne sur une fenêtre large et fermée, ainsi que sur plusieurs portes de bois renforcé par des ferronneries en fonte. Tu te doutes que les autres prisonniers doivent être à l'étage inférieur mais les portes de droite peuvent tout aussi bien renfermer des provisions, les explosifs que tu cherches ou bien d'autres gardes (sobres cette fois-ci).

ce lourdeau est partis pour un bon petit somme ... parfait !

Je me dirige silencieusement vers la première porte.

Je n'aurai qu'à tendre l'oreille ... si y a du bruit je n'entre pas, ça m'étonnerait que des gardes restent parfaitement stone entre eux à attendre quelque chose qui, selon eux ne peux arriver...

C'est donc de cette façon que je m'approche de la première porte ... et tend l'oreille...