Tome 1 : Faire le vide, Episode 4 : La dernière bordée (Staft)

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Un artilleur se fait empaler de dos dans un cri sinistre, alertant ses camarades. Ces derniers parviennent à esquiver le piège rapidement, bien que leurs sauts de côté pour éviter les pieux provoquent des bousculades qui finit par faire chuter un deuxième marin sur l'un de tes pieds. Mais hélas, faire autant de pieux de bois à la fois exige une concentration qui ralentit cruellement la modification de la matière. De plus, tu n'as pris que cinq secondes pour incanter au lieu des dix qui te permettent de lancer un sort à pleine puissance.

Et heureusement d'ailleurs que tu n'as pas pris plus de temps ! Déjà les quelques pirates en position de tirs font tonner leurs mousquets. Certains, déséquilibrés te ratent, mais ta barrière d'air condensée est bien contrainte de se manifester pour t'éviter le pire.

Une balle. Une deuxième, un peu plus loin. Une troisième s'arrête devant tes yeux... ce pouvoir a donc des limites ? Une autre bondit sur ton sternum provoquant une légère contusion qui te coupe le souffle.

En effet, la dernière bordée n'aura pas lieu pour l'instant.

Alors que la bonne douzaine de flibustiers tirent leurs sabres dans un cri de rage et se taillent un chemin à travers toi dans cette foret étrange que tu viens de créer, tu te rappelles des paroles de Morel.

Citation :: Occupes-toi de rester en vie et des canons le Coq, je gère mon équipage.

Mon visage triomphant se désintègre devant le maigre résusltat.

Et ... merde ...

Une colère défigure mes traits.

Mais quel con ! Tu pouvais pas simplement les étrangler avec leurs cols ? Mais non il a fallu que tu là joues spectaculaire hein ? Seul le chaos apporte le spectacle ! Seul la mort donne l'éfficacité ! Et seul les explosif donne l'efficacité et le spectacle !

Je n'ai pas le temps de penser plus, car mes yeux se fixe sur les trois balles, lesquels s'arrêtent à différentes distances de moi, un brin surpris.

Intéressant, tu n'es donc pas sans faille ...

Une dernière balle ricochant sur mon torse confirme mes hypothèses. humf !

Reprenant mon soufle, je perd un peu mes repères ...

Dès lors, j'ai besoin de me concentrer, mes adversaires sorte leur sabres et tentes de se frayer un chemin à travers mes pics.

J'ai enfin la satisfaction d'un résultat positif de mon sort : les tonneaux de poudre percé, aucun rechargement possible, mais les canons eux sont toujours chargés.

Je n'ai pas le temps de penser à ça ! En me reconcentrant sur les pirates

Ils avance inexorablement mais je possède encore un peu de temps.

" Pas assez pour un sort toutefois ... Fichu limite de 10 secondes, je ne peux frapper qu'une fois avant de devoir fuir ... Oui .. l'a prochaine fois, Ce sera rapide et simple ... "

La prochaine fois ...

Et du coup ... Courage ... fuyons ...

Un bon tacticien sais se replier pour pouvoir frapper à nouveau ...

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Le choix de la retraite se montre rapidement comme le plus judicieux. Surpris par cette bordée qui n'arrive toujours pas, l'équipage ennemi commence à perdre patience et à se laisser déborder.

Tu te faufiles entre les combats une fois de plus pour arriver jusqu'au gaillard arrière du Canon. En levant la tête, tu aperçois Morel en train de ferrailler en équilibre sur l'immense gouvernail du navire. D'après l'accoutrement de son adversaire, tu penses reconnaître le capitaine du vaisseau qui est... une femme ! Noire de peau, des grigris plein la ceinture et ses cheveux en rasta, elle est d'une beauté vénéneuse et loin d'être manche au sabre.

Morel semble en fâcheuse posture, à moins que ce ne soit une feinte de sa part. Tu as aussi toi-même ton lot de préoccupation avec la bonne dizaine de gaillards qui te cherchent et te poursuivent, sabre au poing.

Tu es à mi-chemin sur l'escalier qui mène jusqu'à la roue qui commande le cap.

Le capitaine ou tes poursuivants, il va falloir choisir et surtout gagner du temps pour incanter !

Remontant les escaliers quatre à quatre, j'en oublie complètement ma blessure à la jambe ... Heureusement pour la suite :

Dehors, c'est le chaos, y a pas à dire, ça combat partout, un coup de sabre par-ci, un pistolet par là, une balle perdu me frôle.

Quelque peu hésitant à entrer dans la cohue, je jette un regard derrière, les ennemies, mes ennemies pour le coup, ont atteint l'escalier, le premier me lançant un regard haineux qui annonce clairement ce qui risque de m'arriver s'ils m’attrapent.

oh oh ...

Ma tête pivote, tandis que mes jambes s'élancent.
Bond de coté pour éviter un duo passant de bâbord à tribord, et aussi par dessus bord pour l'un deux au passage, son adversaire me lançant un clin d’oeil.

Je ne l'ai malheureusement pas aperçu, concentrer à éviter un trio, dont le fameux Fauche-la-pluie, ferraillant durement contre deux adversaires, une balle provenant de notre navire, en tue un ...

Je me retrouve coincé entre 3 groupe, l'un s'étant mis derrière moi venant de tribord, les autres devant moi, me laissant un couloir, probablement mortel

Nouveaux coup d'oeil derrière moi : cinq marin, et d'autre arrive, sont sortis et me cherche du regard, l'un d'eux croise le mien au moment ou je retourne la tête.

Je fonce tout droit.

L'un des gredin, celui du groupe gauche me faisant face, tente un coup de sabre de haut en bas, c'était sans parlé de mon camarade qui pare le coup

Je fais que passer ... annonce en ayant l'impression de devoir m’excusez du dérangement.

Un groupe de pirate se trouvant prêt de l'escalier tribord m'oblige à prendre celui de gauche, droite par rapport à moi.
On tire dans mon dos et une balle passe au-dessus de ma tête.

Je grimpe l'escalier et découvre ...

Ah ben tient, ça faisait longtemps !

Morell est sur la barre, la barre du navire, bien entendu, et contre-attaque contre ...

Une femme ?

Moi, qui en croise rarement, des sauvageonnes, je peux vous dire que celle-là, s'en était une, et une vraie, au féminin, avec la peau noire, rarement vu également, tout comme sa coupe de cheveux.

c'est raté, c'est rasta ...

Mon regard se tourne une dernière fois, du parcours, derrière moi.

dix, dix hommes m'ayant suivit à travers le chaos, enfin onze, mais y en un qui est pas passez ...

Ma tête penche sur la gauche de lassitude. Ce petit geste au passage, m'évite une balle dans l'oeil.

Je me retourne et revoie Morell, en mauvaise posture.

" Contenante toi des canons et de rester en vie " c'était bien ça qu'il disait non ?

Donc je reste en vie, mais comment ?
mon regard se pose un peu partout, la barre, les cordages, le grand mat, le pont, le chaos, le groupe d'homme qui m'en veut à mort, leur chemin possible

Avec tout ce boucan, je pense pouvoir gagner ce qu'il faut, mais où ?

Je dois faire vite, chaque dixième compte ...

Bien !

Voila donc qui conviendrait bien : l'escalier en lui même, un bon petit toboggan, le chaos m’empêche de bien voir mes adversaire, inutile de me concentrer sur eux, mais un joli toboggan leur fera le plus grand bien, je commence à formuler mon sort...

Ils arrivent irrémédiablement. Ils s'avancent, dégommant au passage un ancien compagnon, ancien car récemment décédé ... Bref, ils avance et en profite pour "recruter" d'autre personne pour mon abattage.

Ils avancent vite pour pouvoir m'évincer rapidement, ils savent que je suis un danger et que mon immobilité ne signifie rien de bon.

J'avais avancez jusqu'au sommet de l'escalier, sans quitter celui-ci pour ne pas perdre de temps.

Mon incantation était terminer, lorsque je vis un main au dessus de moi.

Laquelle portait un sabre censé m'envoyer droit vers l'au-delà.

Pas de bol, le sabre descend trop bas pour m'atteindre.

Je suis satisfait du résultat : une chute du groupe suivit d'un strike

Je me retourne pour découvrir que Morell avait chuté de son podium, à terre, et la femme s’apprêtait à bondir dessus.

Belle et cruel, sombre ritournelle ...

Je ne peux faire que ça !

Es ce que ma pièce à agit ? je l'ignore, toujours est t'il que ma hache lancé, fonce vers la tête du capitaine ennemi.

[ j'avoue ne pas trop savoir si mon texte me permet de sécuriser l'une de mes action majeur, aussi je met jusqu’à 2 points de destins au cas où]
[ps : mon avarice est passé ^^ ]

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

[C'est tout à fait suffisant et comme la scène est cool, je rembourserai les points de Destin à la fin du chapitre]

Tu exécutes ton strike parfaitement, surprenant tout le monde en éliminant une douzaine d'hommes à toi tout en seul qui sont rapidement achevés ou faits prisonniers par tes frères d'armes.

Derrière toi, le combat commence clairement à pencher en la faveur de votre équipage, mais tu n'as pas le temps de t'en inquiéter. En quelques mots, tu transformes le bois de la rambarde en une hachette parfaitement équilibré que tu lances dans un jet désespéré.

[Ralenti]L'arme tourne dans une bruissement étouffé d'air cisaillé. La capitaine saute de son promontoire pour achever un Morel blessé au côté qui ne parvient ni à se relever, ni à brandir son espadon de manière convaincante. La main gauche de cette rose noire abat une dague impitoyable sur le chauve déjà vaincu.

*Slaaashhhhiiih*

Le hurlement qui suit fait quasiment cesser tous les combats en même temps. La maîtresse du Canon est à genoux, pressant son poignet qui gicle, qui gicle, qui gicle.

La suite n'est que l'histoire sinistre de ceux qui se rendent sans pour autant trouver systématiquement leur salut dans la clémence branlante de ces chiens d'eau salée. Mais aussi de ceux qui résistèrent jusqu'à la mort. Glorieuse, parfois, héroïque à tout le moins, digne d'être chantée dans les ports remplis de mauvais alcool et de filles faciles. Mais hélas, ce sont les vainqueurs qui écrivent l'histoire. Et aujourd'hui, c'est toi qui tiens la plume.

17 prisonniers, 30 canons, deux vaisseaux sous votre coupe, une capitaine à l'infirmerie entre la vie et la mort et une centaine de cris d'exultation qui scandent ton nom.

"LE COQ ! LE COQ ! LE COQ ! LE COQ ! LE COQ ! "

Je ne sais pas trop ce qui c'est passé ensuite ...

Je me souviens voir la hache voler, trancher la main, et non la tête ... Puis le crie ... cette hurlement annonçant clairement la fin de la bataille

J'avais trop perdu de sang, je me suis écroulé, tout était devenu flou autour de moi, je n'était pas évanouie mais plutôt ... juste étourdi, sonné ... longtemps, très longtemps ...

Le coq !

Je crois entendre quelque chose.

le coq !

On m'appelle ?

LE COQ !

Le son devient crie.

LE COQ ! LE COQ ! LE COQ !

Ce n'était pas une personne, ni deux, ni trois... mais pas moins de 30 pirates scandant mon nom.

LE COQ ! LE COQ ! LE COQ !

J'étais soulever par plusieurs pirates m'envoyant dans les airs.

Sur leurs visages, de la joie, la joie d'être vainqueur! Je voyais aussi le respect, ils me respectaient, moi ! L'homme qui ne veut que la destruction.

C'est étrange, un héros dans ces moments là, devrait également exalté de joie ... Mais c'était une autre expression sur mon visage qui s’affichait ...
De la colère, j'étais furieux, furieux, voila, je n'aimais absolument pas être porté en héros ... Pourquoi ? Je ne comprenais pas ... pas encore ... Ces félicitations étaient nouveau pour moi, moi qui n'aime pas le changement, ça vient peut-être de là ... Non c'est autre chose ....

Soudain je compris, j'étais fou de rage contre moi-même car une lueur de grâce s'était allumer dans mon esprit ...

Moi qui souhaitais détruire ces pirate pour ne pas me laisser joué de leur poudres ... j'allais les épargné ... Je retirais moi-même même le pain de ma bouche, non la seringue de mon bras ... J'étais fou de rage, voila, contre moi-même, par cette élan de cœur dont je ne comprenais pas la présence ...

Je cessais de lutter, et me laissait allez à l'euphorie général, mais je n'était pas heureux, j'attendais que cela ce calme ...

Il faut que je vois Morell ...

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Morel n'est guère loin. Contraint d'utiliser une rame comme appui pour soulager ta jambe pansée avec les moyens du bord, tu rejoins le capitaine étendu sur sa couche, une grimace en travers du visage.

Le médecin de bord s'affaire à recoudre sa plaie au côté mais les perles de sueur sur son front indique malgré tout une poussée de fièvre. Toi-même, tu es loin d'être confiant en la seringue pas très nette avec laquelle on t'a piqué, mais tu vas. Les hommes ont été maintenus hors de la cabine. Beaucoup ont pour ordre de transbahuter tout le matériel de la Blanchisseuse vers le navire pirate nouvellement acquis.

Une bouteille de tafia à la main, Morel s'envoie goulée sur goulée pour tenir mais ne peut contenir tous les grincements de douleur. Tête reposée contre le bord courbe de la coque, il te regarde du coin de l'oeil pas très heureux de la tournure des choses lui non plus.

Vous devriez être plus satisfait que moi par les évènements ... Et d'une certaine manière moi aussi ...

Je me tâte la jambe pansé

Comme vous semblez si bien aimez rappeler ces choses là, vous avez une dette envers moi.

un grognement de sa part, j'était sur que cela le mettrais de mauvaise humeur.

Et bien je vous donne l’occasion de la remplir par la demande suivante : à la prochaine escale, je quitte votre équipage.

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Il souffle lourdement par les narines. Sa douleur et l'alcool l'empêchent probablement d'avoir une quelqu'autre réaction que le :

"Très bien," qu'il te sort.

L'infirmier embroche de nouveau sa peau avant de tirer le fil.

"Dommage, t'aurais fait un foutre bon maître-artilleur. Sans parler des gars qui commençaient bien à t'apprécier.

'Fin bref, si ça peut effacer ma dette..."

Il grogne de nouveau alors que l'on nettoie sa plaie avant d'hurler à un curieux qui a passé la tête derrière le auvent qui a été dressé à la hâte.

"Et barrez-vous de là, vous autres ! Et allez me virer la peinture qu'a été foutu sur le nom de c'te foutue galion. Elle a peut-être caché son Araignée en Canon, mais qu'il soit dit que le Capitaine Morel a pas peur d'écumer l'océan à bord de l'Araignée !"

Des éructations te dérangent de l'autre côté du bateau. Dans la pénombre, attaché, tu devines dans la paille la silhouette de la capitaine vaincue qui parle d'une voix faiblarde mais qui ne peut cacher son accent des îles.

"T'as tord Morel. L'Araignée a le mauvais oeil. Tu verras bientôt les mauvais esprits s'abattre sur ton nav...

"C'est CAPITAIIIIIIINE Morel pour toi, sale truie !" hurle-t-il avant de balancer la bouteille dans sa direction.

"Magico c'est mauvais oeil. L'a déjà sur toi. T'as pas vu parce que t'as pas d'yeux. Mi jé vois le maudit. Maudit !" crache-t-elle vers toi.

Je me tourne vers elle, un regard ... démoniaque droit vers elle, mais je m'adresse d'abord à Morell

Si je part c'est que je suis dangereux aussi bien contre tes ennemis que contre toi même ... Je préfère m'en tenir là avant que je ne change d'avis ... Si tu vois ce que je veux dire ...

Si le capitaine ne m'avait pas demander de ne pas te tuer moi-même, je t'aurais fait avaler un peu de sodium pur histoire d'exploser ton estomac de l’intérieur ... ça aurait été marrant ...

Soudain un ting ce fait dans ma tête.

Il parle bien de L'Araignée ? Ce navire ? ... Ah ben d'accord...

Je sort ma pièce et le montre droit vers cette femme.

Agir ou mourir, peut-être que ça vous dites quelque chose ? ...

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Elle retrousse ses lèvres en un sourire sombre.

"T'une pièce de Patte-de-Fer..."

Morel intervient immédiatement.

"Qu'en as-tu fait ? Comment as-tu bien pu prendre son navire !?

- Je ne l'ai pas pris !" siffle-t-elle "Van Hyek me l'a donné pour le dépossédé."

Morel grogne un peu plus.

"C'est pour ça que sa proue a été transformée en vulgaire tête de macaque ?! Quelle honte, un bâtiment pareille, une merveille sur mer. Tu as transformé ce bijou flottant en merdaille qui savate la mousse des vagues."

Elle crache un glafiot rougeâtre à ses pieds, ce à quoi Morel tente de se lever mais est retenu par sa douleur aux côtés et l'infirmier qui le force à rester tranquille.

"Toi tu ignores encore tout. Tu ne vois pas. Tous les esprits mauvais qui rodent, qui sont en colère contre ce navire. Je les ai apaisés, moi !"

Elle revient à toi.

"Agir ou mourir. C'est la devise d'Irial. Le démon-ange qui fut enfermé dans le doublon. Lignée puissante, ahah, qui fut prise au même piège que ses ennemis."

Lorsque tu regardes enfin l'autre face de ta pièce, tu distingues en effet une créature ailée à la musculature colossale qui regarde vers le ciel.

"Et Patte-De-Fer ou Van Hiek, peu importe comment tu l'appeles. Où est-il ? Impossible qu'un capitaine de son envergure ait pu laisser son vaisseau. Encore moins à une raclure dans ton genre !"

"Il prépare son retour. Il doit se défendre des démons qui tentent de se venger du sort qu'on leur a jeté. Et ils sont en train d'y parvenir.

L'Ange de la mort approche.

- Ferme ton clapet, catin ! Tes salamalèques ne trompent personne."

Un lourd silence s'en suit. Puis, faisant teinter ses chaînes, elle se tourne à nouveau vers toi.

"Je pourrais te donner tellement plus de pouvoir, toi. Si je débarque avec toi au prochain port...

- Oublie ça, vieille truie ! Tu seras jetée en pâture au tribunal des Trois Océans dès que les capitaines se seront réunis !"

Elle te regarde intensément. Rester pour voir ce qu'elle aurait à t'apprendre ou bien convaincre (contraindre ?) Morel à la faire débarquer avec toi ?

Je reste de marbre ... Non, je tremble, les yeux fermées. Suis-je heureux ? désarmé ? apeuré ? ... non ... je suis excité !

Je l'avais sentie ... Je l'espérais même ... Et maintenant ... Irial ... Bonjour Irial ... Que veux tu donc ? que cherches tu à travers moi ? ... Souhaites tu uniquement m'utiliser ou partageons nous le même but ?

Je ne cherche aucune réponse réellement ...

L'idée que les démons existent ne me posais pas de problème, on m'avait annoncer que je m'alliais aux démons, leurs puissances m'aideraient sans doute dans la destruction... De plus, j'en avais déja rencontrer un ...

Meillon...

Je me calme ... J'ouvre les yeux ...

Je la regard ...

Un autre long silence suit ses paroles ...

Elle peux m'aider ... ou me tuer ... de plus, elle à une dent, ou plutôt une main contre moi ... La puissance ...

Je déclare, ma voix tremble, mais prend de plus en plus d'assurance :

Morell ... Capitaine Morell ... Il ne t'apportera rien de la garder en vie pour toi ... Elle ne connais que la superstition et chose vaudou, ce que toi et ton équipage répugne ... Pourquoi la garder ? Laisse moi t'en débarrasser en me permettant de la déposer au prochain port avec moi ? Tu as l'Araignée ... Et si l'argent t'intéresse, je peux l'acheter, tu sais bien que l'argent n'est pas un problème pour moi ...

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Morel crache au sol avec férocité.

"Et le code d'honneur de la piraterie, tu le connais le Coq ?! Y a des trucs qui peuvent pas s'acheter, elle sera jugée pour ce qu'elle a fait cette catin !

Ouais, on respecte le code ici !"

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L'air humide te chatouille visage sur le dock de la Santa Muerta Maledita. Tu fais de grands signes de la main pour dire au revoir à Morel et à son équipage qui ont vite fait d'avitailler leur navire dans ce petit comptoir perdu dans l'archipel des Trasferares. A tes côtés, la Capitaine du Canon, dont tu ignores encore le nom, est à tes côtés, fers aux poings et aux pieds.

C'est au troisième kilos de pièces d'or que Morel a cédé. "Oui bon, après le code prévoit pas non plus toutes les situations", a-t-il dit.

Après t'avoir chaudement remercié, il a mis les voiles vers un autre cap. Certains soudards qui écumaient les tavernes du port ont d'ailleurs rejoint son équipage, laissant un certain vide dans les rues.

Ta prisonnière tire un peu sur sa chaîne pour attirer ton attention vers [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour amorcer sa descente vers le port.

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Vous embarquez dans une goélette au bout d'une jetée construite sur une plage paradisiaque où l'eau turquoise dévoile ses tortues, coraux et autres petites méduses.

L'embarcation est assez humble par son aspect rafistolé mais elle file vite sous le vent avec une manoeuvrabilité qu'un léviathan comme l'Araignée ne peut avoir. La Seconde Maudite n'est guère à plus de quinze minutes en embarcation. Mais ton nouvel ami ne perd pas une minute :

"Au fait, vous pouvez m'appeler Henry ! J'ai louvoyé un peu partout dans l'océan kaenien mais j'ai rarement vu deux tourter... euh je veux dire deux braves gens comme vous.

Et Madame, si vous me permettez de vous le dire, j'ai connu peu de beautés aussi vives que vous !

- J'ai connu beaucoup de bonimenteurs moi par contre. En général il me dise ça après que je les ai embrochés..." répond ton ancienne prisonnière.

Henry a un lent signe de tête vers le haut avec un sourire plat un peu décontenancé avant de se tourner vers toi.

"Et donc alors ? C'est quoi votre histoire à vous ? Depuis combien de temps étiez-vous dans la flibuste ?"

A bord de cette goélette je n'était pas tranquille, un peu à la merci de cette homme, qui pourrais nous balancer par dessus bord ...

j'était installé sur le pont, à tribord regardant la mer, immense horizon d'on le bleu sombre contrasté avec le bleu clair du ciel ...

Je sourie à la réplique de Capitaine. Sourire perdu lorsque je conte ...

Pour être franc je vous est menti dès le début par méfiance. Ça fait même pas un mois que je débute la piraterie, débuter façon de parlez c'était un peu forcé ... en revanche je vous rassure que mes fonds son suffisamment conséquent pour les affaires ... L'ancien artificier que je suis n'a rien à envié avec un maître-artilleurs ...

Je me retourne et change de bord.

Que dire de plus ? Ah je paye toujours en pierre précieuse, et j'en trimbale jamais sur moi avant de payer.

Un autre de mes défaut : je suis trop franc.

Je laisse un moment pour voir sa réaction.

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Il fronce les sourcils, ne comprenant pas ta dernière phrase avant de poser les yeux sur Lady Tarantula. Il la pointe du doigt discrètement :

"Oh il veut dire que c'est vous qui faites office de coffre-fort ? Je comprends... et d'où viennent-elles d'ailleurs ces pierres ?"

La Capitaine se passe juste une langue noire sur les dents sans autre forme de réponse, te laissant le choix de dévoiler ton secret ou non.

Le passage de la langue me fis comprendre que plus de prudence était nécessaire.
Taire la magie ... dommage ...

" Et vous ? quel donc votre histoire ? "

ce gars semble avoir un tempérament soit de curieux, soit qui aime avoir des histoire, dans le deuxième, il parle ...

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Il recule un peu quand tu réponds à sa question par une autre qui change complètement de sujet.

"Mh. Mh...

Moi, j'ai grandi sur les cotes de Dénéo 6 dans la 4eme Couronne. Et puis, baah, j'ai très vite eu l'appel du large.

Faut dire aussi que dans le marché des soieries, je m'y suis vite connu, vu que j'aimais bien les filles qui s'emballaient dedans. Alors j'ai suivi quelques frégates, puis j'ai commencé à connaître les comptoirs das îles et des côtes du continent septentrional. J'ai été dans le vin, dans les breloques, la verroterie aussi...

J'ai été marié dans une presqu'île de Manhe, dans le sud. Grave erreur ! Qu'elles ont le sang chaud, ahah ! Et pas que sur l'oreiller... eh !

Puis, j'ai dû mettre les voiles vers le nord pour échapper aux contrôles des cartels. Cap sur Xi'or, la belle bleue. Ou j'ai trouvé les plus grandes étrangetés de ma carrière ! Me suis dit "Henry, tu vas faire fortune si t'arrives à les sortir d'ici". Et c'est comme ça que j'ai cotoyé la flibuste. Y a que sous le manteau que ça se vend, ce que vous allez voir...

Certaines vont même jusque dans le désert interurbain pour dénicher ces perles, mais moi je peux vous dire que y a que moi qui ait ce que vous allez voir.

Et puis, c'est comme ça que je suis tombé sur Sem-Sem," dit-il en tapant sur l'épaule de son compagnon de voyage, plus distrait par la houle que par son babillage, "boh, un garçon pas toujours très causant, mais déjà fort débrouillard quand je l'ai rencontré. L'était esclave sur une jonque... vingt de services qu'il devait faire avant de pouvoir toucher terre à nouveau. Une histoire de coeur où il a choisi de courtiser la fille d'un Seigneur local à ce que j'ai compris... mauvaise pioche.

C'est ça qui m'a plus chez lui.

Et nous voilà maintenant revenu près de la grande Dénéo 6. On fait des aller/retour souvent entre Xi'or et ici, quand les vents le permettent. Mais le B.I.I. sont de pire en pire... y en a même qui sont obligés de se tourner vers les contrebandiers du 3eme Voile pour avoir encore du matériel illégal."

Il scrute toutes tes réactions à ses dires, pour voir si tu n'es pas un agent de l'ordre déguisé peut-être.

J'écoute, il m’intéresse, je crois que moi aussi j'aime bien ce genre d'histoire,

Je hausse la tête lorsqu'il parle de l'appel de la mer,

Pareil avec les explosifs ...

J'apprécie moins le passage de sa femme.

Bof ...

L'éclat de mon regard se termine sur un air ... brillant.

Parfait entre homme qui ont des risques avec le gouvernement, ça devrait bien se tenir entre nous.

Puis je voir la marchandise ?

Ma tête était penché sur le coté droit sur cette question.

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

"Bien sûr," dit-il calmement alors que vous vous approchez de la côte rocheuse de l'île.

"J'ai juste une dernière question avant de montrer mes merveilles...

Que comptez-vous faire de ce que vous allez m'acheter ? Le revendre ailleurs ou bien avez-vous un usage personnel précis en tête ?"

Tu vois que son compagnon te toise d'un oeil un peu plus mauvais et méfiant à cette question. Il faut dire que tu n'as pas vraiment répondu à sa question concernant ton histoire à toi... et pour tout dire, il ne sait quasiment rien de toi.

Tout dépend de ce que au final, vous aurez, mais je ne compte pas le revendre si vous voulez savoir ...

Je croise le regards de son camarade ...

Il doute de moi ... autant dire franchement ce que je pourrais faire ...

Mmm, Je distingue dans votre regard un soupçon de suspicion qui pourrait se traduire par ça : Suis-je de ceux qui sont de la justice prêt à vous envoyer à la prison ? Je peux vous dire que c'est pas agréable, vu que j'en viens ...

Je détourne le regard et recroise le regard de ce Henry.

Bon autant être directe, je suis bien artificier, mais je sert aussi bien les "petits-papa-qu'ils-veulent-un-feux-d'artifice-pour-leur-fils" que le coté mafieux, voir révolutionnaire ... un exemple ? le Pont de la prison de la Chasteline ... Ben c'est moi ...

Je parle trop et ça me plait pas ! Mais c'est nécessairement et ça m'agace !

D'ailleurs vous auriez pas un de ces appareils qui permette de communiquer, comment on dit ça déjà ? j'ai oublié. Bref.

Je me retourne touche un morceau de un peu de bois ...

Un temps passe et je me retourne.

Ça ! en montrant un diamant 3 carats, C'est pour votre silence ... et ça en montrant un de 10 carats C'est pour mes achats, marché conclut ?

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Il a énormément de mal à contenir le sourire qui lui monte au visage. Son collègue, plus dubitatif, ne se départ pas de sa mine soucieuse. Henry sort immédiatement un lorgnon en cône de sa poche et commence à scruter les pierres une à une. Il prend son temps alors que la plage de rocher n'est plus qu'à quelques mètres.

"La forme mériterait d'être retaillée, mais ils sont suffisamment gros pour ça. La couleur est un peu marquée mais en revanche, la pureté a l'être excellente. Il me faudrait un meilleur outil pour en juger, mais quelle lumière !"

Il relève la tête vers toi en conclusions.

"Ce devrait être suffisant !"

Dès qu'il lâche cette phrase son acolyte se détend et saute par dessus le bord pour manoeuvrer la goelette jusqu'à un point d'ancrage satisfaisant. Ce doit être ici la crique de l'ours, d'après la forme encaissée de la plage et les roches qui forment de loin une marque de griffure en y regardant bien.

Vous descendez sur de la roche sombre que tu devines être volcanique. Vous entamez alors ensuite une ascension dans une forêt chaude pendant une bonne heure qui met bien à mal ta condition physique et te fait te demander comment ils peuvent acheminer leurs merveilles jusqu'à cette endroit. Il est manifestement nécessaire de remonter un cours d'eau pour parvenir jusqu'à une cascade de soixante mètres qui s'abat du haut d'une falaise rocheuse qui semble compliquée à contourner. Un petit étang est formé par les eaux tombantes avant de rejoindre la rivière que vous venez de remonter.

"La cave derrière la cascade ça c'est ?" demande ta Lady, "z'avez rien de plus connu comme tour ?"

Henry retient son rire.

"Pas vraiment... Tibur !" lance-t-il à son compagnon qui se dirige alors vers un bosquet. Il arrache quelques fourrés pour dévoiler une barque dans laquelle vous êtes rapidement invités à monter. Debout dans l'embarcation, vous vous rapprochez de la suite pour découvrir derrière une roche bien concrète et épaisse. En revanche, en fouillant à un point précis de la mousse on trouve une commande en cuivre où s'insère une clé triangulaire que Henry porte autour du cou.

Sous la pierre, tu entends des sons de cliquetis et des grondements de rouages. Petit à petit, le filet de la cascade se tarit tandis que le niveau d'eau de l'étang descend... et vous avec !

Ainsi, vous descendez une grotte à la verticale alors que l'eau s'échappe pour découvrir l'entrée souterraine du repaire du contrebandier. Après une bonne cinquantaine de mètres, le niveau d'eau se stabilise. Soutenus par des piliers de pierres creusés à même la roche, sa base arrière encore toute humide semble parcourue d'un réseau de canaux qui doivent probablement communiquer avec l'extérieur. Entre ces artères, un sol nivellé vous accueille lorsque vous débarquez.

Tu avises immédiatement plusieurs portes de fer dignes d'une banque. Henry fait tourner une mollette crantée de gauche et de droite pour rentrer le code de la porte qui tourne sur ses gonds dans un crissement liquide.

Et derrière, tu trouves tout un fatras de canons et de barils dans des tonneaux colorés indubitablement exotiques. La plupart ont en effet l'air de venir de Xi'or. Henry, bras écartés, presque levés au ciel, déambule dans ce coffre-fort géant :

"Qu'est-ce que ce sera pour vous mon bon monsieur aujourd'hui ? Le Canon de Keian, peut-être ? Le seul capable de cracher de la foudre ? Avec une batterie de 2 à 3 coups par minutes avec une équipe entraînée, poudre vendue avec, directement venue des enchanteurs du Temple de Kushu.

A moins que vous ne cherchiez quelque chose de plus léger ?"$

Il semble avoir énormément de matériel à te montrer...

J'observe avec curiosité les manœuvres du second.

J'observe le mécanisme, les cliquetis, l'eau descendante, Les portes de métal se révéler, tout est d'une précision ...

Ce décor, cette technique ...

Je m'avance vers les portes ...

Ça me rappelle avec quel minutie je prépare mes propres explosifs ...

Alors qu'il décode la porte, je lui précise

excellente sécurité, je le conçois, cependant sachez que si jamais vous montrer l'entré à un mage de justice, je crois que ces porte ne puisse lui résister, comme elle ne pourrais me résister, un conseil méfiez vous de la façon dont on vous donne l'argent ... Enfin ce n'est pas mon cas ...

Alors qu'il précise les différents armes, mes yeux pétillent

Par où commencer ? ...

Mon regard se pose enfin sur les armes,

Toute ces armes ... Au bon sang ... de soufre de charbon, de salpêtre et de nitroglycérine !

Je suis obliger, à grande peine, de me retenir de me précipiter sur toutes ces armes, toutes ces explosifs, mes yeux brillent ...
Des grenades portable surtout, vous auriez quoi comme arme à feu ? ... Ainsi que les plans de certaines armes lourdes ... Vous auriez cette appareil dont je vous ai parlé qui permet d’appeler du monde ? C'est que j'ai un contact qui serait encore plus intéresser, et qui pourrait fort bien renchérir sur la commande actuel, voyer vous ? ...

Je suis juste fasciné par cette équipement sous mes yeux.

Juste une étincelle ... juste une ...

[hj] : je peux utiliser un point de destin pour avoir garder le contacte de Marion, si nécessaire

Admin Messages : 7168 Date d'inscription : 20/09/2009

Spoiler:

Henry n'a qu'un haussement de sourcils peu convaincu suite à tes conseils. Il en a vu plus d'une dans sa carrière de négociant sous le manteau probablement...

A ta question il fouille dans son bazar organisé pour te pousser du pied des caisses contenant un peu de pailles et surtout des sizaines de grenades à forme octogonales de surface irrégulières.

"Oui, quelques grenades...

Concernant les armes lourdes, il va falloir être plus précis. J'ai des canons oui, mais pas leurs plans. J'achète et je revends, je ne fabrique pas ! J'enchante encore moins..."

Il se tourne ensuite vers une autre salle qu'il ouvre à nouveau grâce à un code. Cette pièce semble contenir plus d'objets électroniques n'ayant pas le droit de circuler dans les couronnes inférieures. Il te tend alors un large pavé en bakélite grand comme ton avant-bras percé de trous à ses extrémités et munis d'une antenne flexible.

C'est lourd et tu n'es pas vraiment habitué à ce genre de modèle. Pour tout dire, tu n'as foutrement aucune idée de comment ça s'utilise. Où est la manivelle qui permet d'appeler la fille des télécom ?

"Là... L'un de mes derniers."

Mon regard brille devant tout ces grenades mais une question vient complètement gâché toute mon bonheur

Et ... Comment je vais faire pour me trimbaler tout ça ? hein ? qu'est ce que j'ai à dire pour ça, hein ? que dalle ... Et merde ...

Ma frustration est en rien comblé par l’apparition d'un grand appareil apporté par henry ...

Mais qu'es ce que c'est que cette ... technologie ?

Je dois avouer que j'ai jamais vu ce modèle ... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Je vais quand même pas passer pour une mauviette dès que la technologie surpasse ce que je connais, et je veux tout faire exploser, moi. Si je suis bloquer par un téléphone alors là ,autant me faire péter ...

Ça ressemblais, absolument ... Mais absolument pas, à ce que je connais.

Le métal déjà, rien que le métal ... C'est flexible, peu résistant, un bon coup de bâton peut le casser ...

"Ça" a un cercle avec des numéros, des chiffres plutôt.

Je reconnais, enfin, l'endroit où écouté. Je décroche, y a un son, mais aucune voix ...

Hum, il doit y avoir une logique ...

Ce matériel utilise une méthode d'appel que je ne connais pas ... Et pour arriver à le comprendre ... il faut penser se que le futur peut donner ...

Il me fallait imaginer un futur de ce téléphone que je connais pour arriver à comprendre ce téléphone de futur ... merdique !

Voyons voir, voyons voir ... Pourquoi il n'y a pas "dame-contacte" pour ça ... parce qu'il n'y a pas besoin ? c'est une idée ... Mais ça m'avance pas ... Et merde ...

Je sort la carte de Marion ... Et là, je lis, une suite de numéro s'affiche ...

00 00 14 28 57 ... mais qu'est ce que c'est ...

Je repère, encore une fois, les chiffres qui sont sur ce ... " truc "

J'examine l’antenne, apparemment rien, tout dois ce reposer sur ce cercle ...

Voyons voir ...

Je touche ... le premier numéro, un 0, j'appuie, ça ne marche pas par pression. J'essais de la tourner dans un sens, il ne tourne pas ... l'autre sens, ça tourne ! je poursuit le mouvement mais je me retrouve bloquer par une boucle de métal ... j'enlève mon doigt,

Tient, il retourne à sa position initial ...

Pourquoi bloque-t-elle ?... Afin d'imposer une limite ... de quoi ? hum ... une limite du mouvement certainement ... Donc ... Le mouvement ... Est un code ... Qui ... Hum ... Caractérise ... Les coordonnés que l'on souhaite appeler !

Pourquoi remonté à ça position initial ? ... Afin de réinitialiser les coordonnées pour un chiffre !

Je répète le mouvement du 0 ...

Encore, 4 fois au total.

Puis le 1, le mouvement est plus long ... Le 4 plus long.

A chaque chiffre, une longueur ... Une coordonnée ... Je sens que c'est ça !

Le 2 ... Le 8 ... Le 5 ... et finalement le 7 ...

J'approche l'appareil de mon oreille ...

Spoiler: